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Théâtre Le Petit Chien 

La presse parle du Théâtre Le Petit Chien

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L'odeur des azalées m'a subitement fait suffoquer

Un très bon moment de théâtre contemporain.

Sophie Cottin a écrit un texte sur un phénomène effrayant et jamais abordé au théâtre, celui des personnes qui disparaissent volontairement. Elle a imaginé un récit-conjuration extrêmement humain qui, sous la direction de Raphaëlle Cambray, nous offre un moment joyeux de... Lire plus

Sophie Cottin a écrit un texte sur un phénomène effrayant et jamais abordé au théâtre, celui des personnes qui disparaissent volontairement. Elle a imaginé un récit-conjuration extrêmement humain qui, sous la direction de Raphaëlle Cambray, nous offre un moment joyeux de théâtre pour deux comédiennes formidables. Cette comédie romantique qui respecte les lois du genre et le mélo, aux accents d’un patriarcat désuet, vient parfois surprendre. Sauf que Anne Canovas et Kim Schwarck sont absolument fantastiques de vérité. Le motif littéraire du miroir est porté avec brio par les deux comédiennes qui entrent en résonance. L’intrigue tient grâce à leur jeu. Et l’histoire reste actuelle, contemporaine, dans l’air du temps. On s’identifie à l’une puis à l’autre avec une question qui ne nous quitte pas : qu’aurions-nous fait à leur place ? Et qui a le droit de faire quoi ? DAVID ROFÉ-SARFAT

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Dissident, il va sans dire

Hugo Givort réussit un coup de maître avec sa première mise en scène !

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Dissident, il va sans dire

Michel Vinaver, l’éternité et quelques minutes

Bien dirigé, bien mené, bonnes accélérations, silences, suspens. Elle nous ferait croire à une lassitude certaine. Elle parle un peu haut. Elle donne le sentiment de sa solitude profonde. C’est Judith d’Aleazzo. Il est vif, nerveux, très juste dans toutes ses intonations et les couleurs... Lire plus

Bien dirigé, bien mené, bonnes accélérations, silences, suspens. Elle nous ferait croire à une lassitude certaine. Elle parle un peu haut. Elle donne le sentiment de sa solitude profonde. C’est Judith d’Aleazzo. Il est vif, nerveux, très juste dans toutes ses intonations et les couleurs très changeantes de ses humeurs : Pablo Cherrey-Iturralde est idéal. A écouter, déguster, en se laissant envahir par l’humanité de cette situation datée (oui, cela parle aussi des années 70) et éternelle. Du très beau théâtre, humain, profond, non sans esprit.

Armelle Héliot

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