Grégory questionne le rapport ambigu qu’entretiennent la fiction et le réel dès qu’il s’agit de mettre en récit un évènement.

1985 : Le comité de rédaction d’un grand journal s’interroge sur la publication de la tribune de Marguerite Duras incriminant Christine V. du meurtre de son fils. 

 

Le roman peut-il s’inviter à la table des journalistes ? Peut-on pousser le média jusqu’à la fiction ? Et si, pendant ce temps-là, Marie-Claude laissait un jeune homme enregistrer ses confidences, Yves et Corinne étaient fiers de leur canapé en cuir, Denis empêchait Marguerite d’aller sur les lieux du crime... Et nous, que ferions-nous ?

Création lumière et régie : Mickaël HARREL

Distribution : Lucile BARBIERDelphine BENTOLILANicolas DANDINERégis LUXAmandine DU RIVAULaurence ROYFélix VILLEMUR PONSELLE

Mise en scène : Delphine BENTOLILA

Scénographe : Nicolas DANDINE

Dramaturgie : Delphine BENTOLILAAmandine DU RIVAU

Création sonore : Ilan MERCHER

Plan d’accès Théâtre 11.Avignon

La presse en parle - Grégory

 Un excellent comédien, Jérôme Fauvel, seul en scène, interprète de multiples personnages (…)

Le texte s’inspire d’une histoire vraie. Sarah Blamont, l’autrice, précise que cette histoire a été pour elle une occasion de s’interroger sur «ce processus de renfermement, d’exclusion, de communautarisme qui mène à cette peur de l’Autre, jusqu’à sa détestation.

Arts Mouvants
La force de la représentation est de ne pas imposer de réponses toutes faites.

Ni manichéen, ni manipulateur, le texte, honnête, s’interroge autant qu’il nous interpelle. (…) Jérôme Fauvel sans faillir porte un texte fort et intelligemment construit. 

La grande parade
Le texte de Sarah Blamont, d’une belle densité dramatique, sans qu’en soit absent l’humour, est traversé de fulgurances poétiques, parfois inouïes (…).

Et comment ne pas saluer la performance de Jérôme Fauvel, assumant seul la charge de tous les personnages, sans affèterie, dans ce spectacle qu’il met en scène.

Télérama sortir
TTT - Seul en scène, l’acteur se dépouille méthodiquement des identités qu’il emprunte pour expliquer l’inexplicable.

(…) Il bascule, ce faisant, de rôles de composition vers un jeu net, sans fioriture, comme s’il ôtait une à une des pelures d’oignons. Moins il joue et meilleur il est. Ce talent-là n’est pas donné à tout le monde.

C’est bien la finesse et le fond qui l’emportent.

Dans son écriture comme dans sa mise en scène, cette pièce aborde son sujet avec beaucoup de pertinence, assumant son titre comme un symbole se suffisant à lui-même. Ainsi l’interprétation, les lumières, les décors ou les accessoires servent-ils une forme qui suggère habilement... Lire plus

Dans son écriture comme dans sa mise en scène, cette pièce aborde son sujet avec beaucoup de pertinence, assumant son titre comme un symbole se suffisant à lui-même. Ainsi l’interprétation, les lumières, les décors ou les accessoires servent-ils une forme qui suggère habilement plutôt que d’imposer l’évidence. 

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