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La Moustâche au Splendid

Spectacle

La fille : C’est la mode du moment : avant, il fallait être rasé de près, après il y a eu la barbe de trois jours… C’est à la mode, qu’est-ce que tu veux !

Le père : Quand même !

La fille : Et ça fait fureur !

Après avoir triomphé au Théâtre de la Gaîté-Montparnasse, cette moustache qui « fait führer » débarque cet été au Théâtre du Splendid, pour le meilleur et surtout pour le rire.

Sylvain Sabourdin est un homme qui ne sait pas dire non. A son meilleur ami qui squatte chez lui et plus généralement à tous ceux qui en profitent. A sa compagne aussi qu’il va épouser et qui lui annonce que son terrible père débarque le lendemain.

Angoissé à l’idée de cette rencontre, Sylvain se prépare comme il peut. Une panne électrique le surprend en plein rasage. Le voilà affublé d’une moustache, et pas n’importe quelle moustache, celle que portait Hitler !
 

Confusions, quiproquos et gags vont alors s’enchaîner à un rythme endiablé.

Le quiproquo de la pièce « faire croire à tous que le personnage principal est un nazi endurci » ne cesse d’enfler, comme une tornade emportant tout sur son passage.

La Moustâche n’a pas peur de s’attaquer à tous les sujets tabous de notre société, sans aucun filtre qui plus est : racisme, homophobie, antisémitisme…

Cette impertinente tornade de comique de répétitions, va s’incarner notamment à travers une gestuelle réglée comme une horloge. Un régal à jouer pour les comédiens.

L’apparition de cette moustache bouleverse tout ce petit monde : du Nazi involontaire (clin d’œil à Charlie Chaplin, bien sûr !) qui va découvrir enfin les joies de l’autorité, au féroce beau-père juif soudain plus apeuré que jamais, du meilleur pote squatteur qui ferait bien de faire ses valises, en passant par le gardien secrètement nazi et totalement dépassé par la situation…

Au centre de ce désastre annoncé, il y a ce personnage principal très touchant : totalement transparent avant le port obligatoire de cette fâcheuse moustache, il trouve l’énergie de se dépasser et (enfin) de se faire respecter.

 

Pour l’anecdote, la pièce est née d’un sketch, « La panne d’électricité », créé par Sacha Judaszko (qui incarne le fougueux gardien, en alternance avec Matthieu Burnel) dans l’émission de Laurent Ruquier, « On ne demande qu’à en rire ». Parmi les membres du jury chargés de donner leur avis se trouvaient Jean Benguigui (qui incarna le beau-père juif lors de sa création) et Jean-Luc Moreau (qui signe la mise en scène)…

 

Télérama applaudit « le flux impétueux des gags ». Le Figaro Magazine parle d’une « réussite intégrale ».  Télé Loisirs garantit « des fous rires du début à la fin. »

 

Cet été, dans le temple du comique parisien (c’est ici que la célèbre troupe du Splendid a fait ses preuves), ne passez pas à côté de cette comédie aussi jubilatoire qu’impertinente !

 

Mise en scène :

Jean-Luc MOREAU

Distribution :

Matthias VAN KACHE Daniel-Jean COLLOREDO Joy ESTHER en alternance avec Tiffanie JAMESSE, Sacha JUDASZKO en alternance avec Matthieu BURNEL, Jean-Baptiste SHELMERDINE

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Anonyme
Sylvain
Bonjour à tous
Je me présente Mr Sabourdin Sylvain
J'ai lu un peu votre scénario et suis étonné de tout ses similitudes.
En faite je me pose vraiment des questions à savoir qui vous a écrit cette histoire.

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