Dispersion (Ashes to ashes)
La presse parle de Dispersion (Ashes to ashes)

Une mise en scène d’une sobriété et d’une justesse exemplaires : un écrin pur et abstrait pour une Carole Bouquet magnifique, d’une beauté et d’un mystère à couper le souffle.

Carole Bouquet, qu'on n'avait pas vue sur scène depuis quatre ans, est bouleversante dans ce rôle de femme banale rattrapée, comme à son insu, par le martyre de l'humanité. Le décor, aussi beau qu'inquiétant, évoque la salle d'attente d'une clinique bourgeoise, où l'art chirurgical... Lire plus
Carole Bouquet, qu'on n'avait pas vue sur scène depuis quatre ans, est bouleversante dans ce rôle de femme banale rattrapée, comme à son insu, par le martyre de l'humanité. Le décor, aussi beau qu'inquiétant, évoque la salle d'attente d'une clinique bourgeoise, où l'art chirurgical et la cruauté de Pinter s'expriment à la perfection.
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Le travail fin, profond, rigoureux de Desarthe, trop rare sur les scènes ces dernières années, en révèle l’essence même, les ombres et les lumières. Inquisiteur obstiné, précis, à la violence rentrée, il forme avec sa partenaire un couple pénétrant.... Lire plus
Le travail fin, profond, rigoureux de Desarthe, trop rare sur les scènes ces dernières années, en révèle l’essence même, les ombres et les lumières. Inquisiteur obstiné, précis, à la violence rentrée, il forme avec sa partenaire un couple pénétrant. Le jeu intérieur de Carole Bouquet, habitée de mémoire, imprégnée de souffrance, interpelle et cueille le spectateur. C’est l’art de l’exigence.
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Le Devlin de Gérard Desarthe, avec une précision tranchante et une sourde tendresse, observe et écoute. Carole Bouquet, lovée sur le canapé, accrochée à son châle comme à une bouée est remarquable. Elle fait tout comprendre des pensées tourmentées de Rebecca,...

Carole Bouquet, dirigée au cordeau par Gérard Desarthe rencontre là un de ses plus beaux rôles. Un rôle en creux habité par la beauté de son phrasé et de son timbre, par la lumière de son visage comme lavé à grande eau. Desarthe l’a amenée, presque...