Paris

Jeux olympiques de Montréal, 1976. Nadia Comaneci a quatorze ans, elle est la première gymnaste à obtenir la note suprême de dix. Depuis, elle n’est plus gymnaste, elle est Nadia.

 

Les légendes n’ont pas besoin de nom de famille. La légende de Nadia. Celle de la perfection. Et du chaos aussi. Celui de son corps qui réalise ce qu’un corps n’est pas censé réaliser. De son corps que le monde entier semble vouloir posséder dans un même désir. De son corps que les Ceausescu pensent avoir créé avec l’air, l’eau et la Roumanie. De son corps qui ne s’écroule jamais, contrairement au mur de Berlin et au rêve américain. De ce corps qui ne lui appartient dès lors plus tout à fait. Et dont il faut retracer la légende dans une biographie fantasmée, une hypothèse : peut-être Nadia.

 

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Le spectacle a reçu le label « Olympiade Culturelle » de la part de Paris 2024

 

Ce spectacle n'est plus à l’affiche

La presse en parle - Peut-être Nadia

Logo le Canard Enchaîné

« A la fin, seul reste sur scène l’entraîneur, le démiurge (incarné par Nicolas Martel), qui se lance, grand moment, dans un saisissant monologue. Belle pirouette finale, haute et troublante gymnastique… »

Logo Télérama

« Le spectacle, mêlant intime et politique, tricote des liens nerveux et pertinents entre l’individu et le collectif, la petite et la grande histoire, la voltige ordonnée d’un corps et la valse chaotique des sociétés. »

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