T : 01 87 446 111
15, rue du Retrait
75020 Paris
Direction : Nathalie LUCAS, Serge PAUMIER
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15, rue du Retrait
75020 Paris
Direction : Nathalie LUCAS, Serge PAUMIER
Décor fourni, bonnes idées (comme les interludes télévisés) et ensemble rythmé font briller cette comédie grand public construite sur une intrigue qui parlera à tous.
L’humour est roi. Entre comique de situation, jeux de mots, délires absurdes, running gags, Grand Guignol et cascades surprises, tout y passe...
Cela ressemble à une grande récréation et après tout, c’est aussi ça le théâtre...
Un bel hommage au théâtre, aux femmes et à l’amour. Voilà le cocktail détonnant du nouveau spectacle immanquable de Stéphane Cottin.
Le ton, léger, contrebalance la profondeur de la thématique. Une pièce passionnante portée par l’interprétation de haute volée de Vincent Heden, tout aussi virtuose en femme shakespearienne qu’en homme bafoué par les contradictions de son époque.
La salle se lève comme un seul homme à la fin.
Deux hommes dissemblables, et tous deux d’une intelligence supérieure. De quoi alimenter un texte ciselé avec soin par Jean-Claude Brisville. On se régale à écouter cette joute interprétée avec ferveur par Daniel Mesguich, Descartes qui a de la griffe, face à son fils...
La rencontre des deux savants philosophes – dont l’admiration qu’ils éprouvent l’un pour l’autre n’est pas feinte – n’est pas sans provoquer de passionnants affrontements d’idées dans une perspective entre le savoir et le croire, la raison raisonnante et le dogmatisme sectaire
Daniel Mesguich passe le flambeau à son fils William pour se glisser dans le costume de Descartes. Et comme ça lui va bien ! Et comme il semble heureux, à cette place-là ! Bonheur partagé, pour ce duo de virtuoses à la troublante ressemblance.
Talleyrand incarné par Daniel MESGUICH, assume sa nature narcissique, il est vrai qu'il est boiteux. Il ne se départit jamais d'une ironie persifleuse si utile pour désarçonner son adversaire Fouché, interprété par William MESGUICH, toujours sur la défensive et inquiet, prêt à... Lire plus
Talleyrand incarné par Daniel MESGUICH, assume sa nature narcissique, il est vrai qu'il est boiteux. Il ne se départit jamais d'une ironie persifleuse si utile pour désarçonner son adversaire Fouché, interprété par William MESGUICH, toujours sur la défensive et inquiet, prêt à rugir à tout moment. Il s'agit donc bien d'une bataille de coqs où la perception esthétique, cérébrale, le beau langage, l'emportent sur les frayeurs. (…) L'attrait majeur de la pièce tient à la présence de ces deux baroudeurs du théâtre, Daniel et William MESGUICH qui avancent leurs personnages, tels des pions sur le damier de la grande histoire, d'inaltérables voyous, selon Daniel ! Evelyne Trân
FermerLe Souper, une pièce pour fins gourmets au Théâtre de Poche Montparnasse. Sur le rythme d’une langue française magnifiée à chaque phrase, les comédiens s’affrontent sur un tapis de velours qui leur permet, en cas de légère glissade rhétorique, de toujours retomber... Lire plus
Le Souper, une pièce pour fins gourmets au Théâtre de Poche Montparnasse. Sur le rythme d’une langue française magnifiée à chaque phrase, les comédiens s’affrontent sur un tapis de velours qui leur permet, en cas de légère glissade rhétorique, de toujours retomber sur leurs pieds avec un minimum de souffrance. Le Souper se déguste avec appétit tant les deux comédiens savent mettre l’eau à la bouche et proposer un festin d’expressions françaises désuètes. Le numéro d’acteur est à son apogée pour un véritable délice au Théâtre de Poche Montparnasse. Stanislas Claude
FermerDaniel Mesguich dans le costume de Talleyrand, son fils William en glacial Fouché. Les deux comédiens servent au théâtre de poche Montparnasse un Souper exquis, face-à-face magistral. La petite salle du théâtre de poche Montparnasse offre un parfait écrin pour boire avec délice le... Lire plus
Daniel Mesguich dans le costume de Talleyrand, son fils William en glacial Fouché. Les deux comédiens servent au théâtre de poche Montparnasse un Souper exquis, face-à-face magistral. La petite salle du théâtre de poche Montparnasse offre un parfait écrin pour boire avec délice le Souper, mis en scène par Daniel et William Mesguich. Ce face-à-face historique assoit autour d’une nappe blanche un perfide Talleyrand incarné par Daniel Mesguich et un Fouché morbide, colérique et glacial joué par son fils William. (…)On boit ce Souper avec délectation, si proche des comédiens qu’on se croirait dans leur poche.
Valentine Rousseau
FermerWilliam Mesguich incarne un Fouché méchant ambitieux cruel jaloux de ses prérogatives envahi par une peur sourde de tout perdre et une colère quasi meurtrière contre Talleyrand. Daniel Mesguich interprète un Talleyrand boiteux fatigué cependant que sûr de lui-même. Chacun... Lire plus
William Mesguich incarne un Fouché méchant ambitieux cruel jaloux de ses prérogatives envahi par une peur sourde de tout perdre et une colère quasi meurtrière contre Talleyrand. Daniel Mesguich interprète un Talleyrand boiteux fatigué cependant que sûr de lui-même. Chacun restitue le malaise ambiant qui magnétise la pièce et qui délicieusement nous captive, car l’instant est critique. Reste la question de savoir qui du fils ou du père joue le mieux. L’un comme l’autre, certainement par la magie de ce qui circule entre eux, fait d’estime réciproque et d’amour, joue sans rajouter rien comme pour laisser la place à l’autre. Par l’action de cette délicatesse et de cette retenue, l’un comme l’autre joue moins et ainsi n’aura jamais joué aussi bien.
David Rofé-Sarfati
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En quelques secondes, la très belle version proposée par William et Daniel Mesguich rassurera les inquiets : non seulement, "Le Souper" tient le coup, mais il est grâce à des interprètes de cette grande qualité très près d'être en passe de devenir une œuvre intemporelle... Lire plus
En quelques secondes, la très belle version proposée par William et Daniel Mesguich rassurera les inquiets : non seulement, "Le Souper" tient le coup, mais il est grâce à des interprètes de cette grande qualité très près d'être en passe de devenir une œuvre intemporelle qui va rester dans la mémoire collective. (…) Ce théâtre de têtes a l'avantage de fournir un divertissement inégalé. (…) Synonyme d'une agréable soirée pendant laquelle on reprendra goût aux images d'Epinal de l'Histoire de France dans un beau duel qu'auraient salué, on peut l'affirmer sans problème, deux experts en la matière : Alexandre Dumas et Sacha Guitry. C'est dire.
Philippe Person
FermerDaniel Mesguich interprète un Talleyrand tout en rondeur et finesse. (…) Tandis que William campe un Fouché colérique et passionné qui finira par se faire retourner par l’expérience de Talleyrand, fin politicien s’il en est. (…) Daniel Mesguich est toujours aussi parfait quand il... Lire plus
Daniel Mesguich interprète un Talleyrand tout en rondeur et finesse. (…) Tandis que William campe un Fouché colérique et passionné qui finira par se faire retourner par l’expérience de Talleyrand, fin politicien s’il en est. (…) Daniel Mesguich est toujours aussi parfait quand il incarne un personnage, aussi loin de lui soit-il. Il faut capter son regard de tueur, entre les mots qui se veulent enjôleurs ou d’esprit. Voilà un comédien qui sait remplir les silences et nous captiver avec la langue française. Si diction parfaite est un art en soi. Son fils, William, est parfait en jeune patron de la police, froid et sans scrupules. C’est un J. Edgar Hoover avant la lettre, homme de dossier, de chiffres, ayant des mouchards jusque dans le lit de Napoléon. Un grand moment de théâtre dans le grand petit théâtre de Philippe Tesson, souvent présent pour accueillir le public et présenter les spectacles à l’affiche avec des mots bien choisis. Sans trop en faire, comme un bon souper.
Guillaume Cherel
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Fascinant échange qui en dit long sur les coulisses du pouvoir et que mènent deux acteurs dont la complicité se sent jusque dans les silences. Joëlle Gayot
La petite scène du Théâtre de Poche est propice à la reconstitution d'un moment historique imaginaire, dans l'atmosphère intimiste d'une salle à manger éclairée par la lueur vacillante des bougies (…) Le dialogue brillant, vif, précis, acéré et piquant vire... Lire plus
La petite scène du Théâtre de Poche est propice à la reconstitution d'un moment historique imaginaire, dans l'atmosphère intimiste d'une salle à manger éclairée par la lueur vacillante des bougies (…) Le dialogue brillant, vif, précis, acéré et piquant vire parfois à la joute verbale et flirte avec les limites de la politesse hypocrite de ceux qui doivent s'allier dans la haine, pour le meilleur et pour le pire. Chaque mot, chaque inflexion de voix fait mouche, mis en relief par les gestes des convives et les regards parfois colériques ou amusés.
Ton That Thanh Van
Excellent Souper ! Une pièce raffinée basée sur un face à face magnifique, entre deux faiseurs de roi au lendemain de la déroute à Warterloo. (…) Les deux protagonistes sont incarnés... Lire plus
Excellent Souper !
Une pièce raffinée basée sur un face à face magnifique, entre deux faiseurs de roi au lendemain de la déroute à Warterloo. (…) Les deux protagonistes sont incarnés par William et Daniel Mesguish, qui oeuvrent aussi à la mise en scène (…) et c’est un régal de le voir s’affronter. La joute est de haut niveau. La configuration de la salle du Poche est idéale pour nous permettre d’être le témoin de ce diner historique en toute intimité.
FermerDaniel et William Mesguich incarnent les deux hommes politiques avec brio et signent une mise en scène. Dans un intérieur bourgeois, l’appartement de Talleyrand, les deux hommes vont s’affronter à coup de rhétorique. D’un côté un Talleyrand précieux, aristocrate... Lire plus
Daniel et William Mesguich incarnent les deux hommes politiques avec brio et signent une mise en scène. Dans un intérieur bourgeois, l’appartement de Talleyrand, les deux hommes vont s’affronter à coup de rhétorique. D’un côté un Talleyrand précieux, aristocrate efféminé aux mimiques évidentes, et de l’autre un Fouché rustre et austère. L‘interprétation est d’une extrême justesse (…) La force de cette adaptation est donc aussi bien dans l’interprétation que dans la mise en scène. Dans cet appartement presque lugubre, on assiste à une discussion qui, bien qu’imaginée de toute pièce, va changer le cours de l’Histoire. (…) On se croirait dans le salon de Talleyrand, comme prenant part à ce débat historique. En complète immersion, le spectateur aimerait presque exprimer son avis sur le régime à donner à la France. Mais l’Histoire décidera elle-même du reste…
Charlotte Henry
FermerUne leçon d'interprétation, une leçon d'appropriation d'un texte. Une démonstration : le métier de comédien expliqué en moins d'une heure trente. Ce qui se joue sur le plateau du Poche Montparnasse dans ce Souper de Jean-Claude Brisville, ce qui se joue-là relève du grand art... Lire plus
Une leçon d'interprétation, une leçon d'appropriation d'un texte. Une démonstration : le métier de comédien expliqué en moins d'une heure trente. Ce qui se joue sur le plateau du Poche Montparnasse dans ce Souper de Jean-Claude Brisville, ce qui se joue-là relève du grand art (…) Ici, deux grands comédiens s'emparent d'une pièce en devenant purement et simplement Talleyrand et Fouché, ces deux « monstres » historiques que tout ou presque oppose. (…) C'est du grand art. Ensuite, la sagesse populaire disant que « le diable se cache dans les détails », tous les gestes, les attitudes, les subtilités dans leurs différentes façons de bouger, de manger, tout ceci est absolument jouissif à observer. (…) Ce souper on ne peut plus fin est un autre spectacle incontournable de l'hiver.
Yves Poey
C’est toujours un bonheur de voir qu'une pièce, avec le temps, ne prend pas une ride. Ce Souper de Jean-Claude Brisville, qui, comme on le sait, confronte deux des plus brillants coquins du XIXe siècle - Fouché et Talleyrand -, donne toujours le même plaisir, pour peu qu'on aime l'esprit français,... Lire plus
C’est toujours un bonheur de voir qu'une pièce, avec le temps, ne prend pas une ride. Ce Souper de Jean-Claude Brisville, qui, comme on le sait, confronte deux des plus brillants coquins du XIXe siècle - Fouché et Talleyrand -, donne toujours le même plaisir, pour peu qu'on aime l'esprit français, l'Histoire qui s'anime, l'intelligence qui mousse, la culture qui s'incarne. Cette fois, ce sont les Mesguich, père et fils, qui remplacent Claude Brasseur et le si regretté et génial Claude Rich, William, le fils, est Fouché. Daniel, le père, est Talleyrand. C'est un comédien subtil et excellent. Il joue, pour notre bonheur, avec une vérité et un réalisme que, metteur en scène, il a passé son temps à combattre. C'est réjouissant à ce titre-là aussi.
Jean-Luc Jeener
C’est un huis-clos cruel. Dans ce registre, Daniel et William Mesguich rivalisent avec talent, peaufinant chaque intonation, chaque silence pour mettre en avant la richesse de cette langue du XIXe siècle. Quelle éloquence ! Ils se toisent, s'évitent, se mordent comme deux bêtes sans cesse sur leurs gardes... Lire plus
C’est un huis-clos cruel. Dans ce registre, Daniel et William Mesguich rivalisent avec talent, peaufinant chaque intonation, chaque silence pour mettre en avant la richesse de cette langue du XIXe siècle. Quelle éloquence ! Ils se toisent, s'évitent, se mordent comme deux bêtes sans cesse sur leurs gardes L'affrontement est subtil, fascinant, parfois tellement féroce qu'il fait sourire. Mais ils ont besoin l'un de l'autre et doivent composer. Que vont-ils décider ? Les masques vont-ils tomber ? Du grand art. (…) Daniel et William Mesguich sont par faits dans cet exercice oratoire de 90 petites minutes dont la force est de dépasser la fiction. On est bien au théâtre.
Jean-Luc Wathausen
Virtuosité que l’on peut attribuer aussi aux deux interprètes Daniel et William Mesguich. Le premier incarnant à merveille, dans une diction parfaite, un Talleyran incisif et sournois. Le second, William - méconnaissable dans sa perruque brune - lui donnant la réplique, n’est rien moins... Lire plus
Virtuosité que l’on peut attribuer aussi aux deux interprètes Daniel et William Mesguich. Le premier incarnant à merveille, dans une diction parfaite, un Talleyran incisif et sournois. Le second, William - méconnaissable dans sa perruque brune - lui donnant la réplique, n’est rien moins qu’un Fouché subtilement impétueux, fort de ses prérogatives. (…) Un régal ! Un talentueux duo père/fils. Symbiotique ! A ne pas manquer.
Lydie Léa Chaize
FermerTout est finesse dans ce spectacle, tout est précis et précieux. Les colères éclatantes de Fouché ou les murmures insidieux de Talleyrand ne semblent pas avoir de prise l’un sur l’autre et ne compromettent jamais la recherche d’une entente forcée qu’ils paraissent vouloir... Lire plus
Tout est finesse dans ce spectacle, tout est précis et précieux. Les colères éclatantes de Fouché ou les murmures insidieux de Talleyrand ne semblent pas avoir de prise l’un sur l’autre et ne compromettent jamais la recherche d’une entente forcée qu’ils paraissent vouloir trouver ensemble. (…) Une pièce prenante et surprenante. Un spectacle beau et envoutant. Nous sortons groggy par ce que nous avons vu et entendu. Une leçon d’interprétation, un temps mémorable de théâtre.
Frédéric Perez
FermerMise en scène et interprétée par Daniel et William Mesguich, cette pièce historique signe le retour sur scène d’un remarquable tandem familial. (…) À la fois talentueux et complémentaires, ils donnent aujourd’hui vie à deux hommes d’état... Lire plus
Mise en scène et interprétée par Daniel et William Mesguich, cette pièce historique signe le retour sur scène d’un remarquable tandem familial. (…) À la fois talentueux et complémentaires, ils donnent aujourd’hui vie à deux hommes d’état diamétralement opposés. (…) Dans cette excellente adaptation du Souper, Daniel et William Mesguich font de toute évidence honneur au texte exigent de Jean-Claude Brisville. C’est fin, délicat, cérébral et ça se consomme sans modération à la lueur de délicates bougies s’étiolant au fil de la pièce. Florence Yeremian
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Si la mise en scène est brillante, l’interprétation de Daniel et William Mesguish ne l’est pas moins. Elle place sous le feu des projecteurs les aspects les plus noirs des personnages. (…) Daniel Mesguish épouse à la perfection le personnage de Talleyrand faisant montre d’une... Lire plus
Si la mise en scène est brillante, l’interprétation de Daniel et William Mesguish ne l’est pas moins. Elle place sous le feu des projecteurs les aspects les plus noirs des personnages. (…) Daniel Mesguish épouse à la perfection le personnage de Talleyrand faisant montre d’une onctuosité nécessaire rendant le personnage redoutable. Le corps, les gestes, tout est là pour nous rappeler la personnalité de cet homme d’état hors du commun. (…) William Mesguish incarne un Fouché ambitieux, assoiffé de pouvoir et de puissance se présentant à armes égales dans cette négociation subtile. Il laisse entrevoir une âme noire révélant des accents sanguinaires laissant le champ ouvert à des dérives coercitives inquiétantes. Ce spectacle est proprement jubilatoire !
Laurent Schteiner
FermerDaniel Mesguich interprète Talleyrand avec un détachement élégant et un phrasé relevant de la préciosité, propre au personnage. On ressent le travail de I ’acteur sur le texte qu’il a analysé si ce n’est dissèqué. Ce n’est pas un jeu au premier... Lire plus
Daniel Mesguich interprète Talleyrand avec un détachement élégant et un phrasé relevant de la préciosité, propre au personnage. On ressent le travail de I ’acteur sur le texte qu’il a analysé si ce n’est dissèqué. Ce n’est pas un jeu au premier degré mais plutôt un dialogue entre Talleyrand et l'acteur. William, lui, a une approche plus crue de son personnage. Son interprétation est plus charnelle, brutale, ainsi que I ’exige la nature de Fouché. De par une mise en scène à la précision chirurgicale, toute entière fondée sur le tempo, ces deux partis-pris d'interprétation se complètent parfaitement. Une belle et intelligente leçon de théâtre.
Bruno-Stéphane Chanson
FermerCe « souper » est un petit bijou d’élégance . Le texte de Jean-Claude Brisville, coulé dans le style de l'époque, a fait l'unanimité quant à sa subtilité littéraire, (…) L’interprétation des Mesguich père et fils et la mise en scène... Lire plus
Ce « souper » est un petit bijou d’élégance. Le texte de Jean-Claude Brisville, coulé dans le style de l'époque, a fait l'unanimité quant à sa subtilité littéraire, (…) L’interprétation des Mesguich père et fils et la mise en scène signée par le premier tiennent compte de cette distance. Daniel Mesguich donne un Talleyrand savoureux, toujours maître de lui, dont le sourire de bonne éducation fait oublier le regard souvent glacial. (…) La mise en scène de Daniel Mesguich est alerte, pleine de subtilités, mettant en valeur le texte vif et piquant, jouant avec les silences, les intonations, l'humour à la française, la complicité des deux fauves.
François Ménager
FermerOn aime la diction à l’honneur, portée sur les planches par ce père et ce fils si talentueux. Les jeux nerveux des deux comédiens sont contrebalancés par les expressions presque lyriques, dont les jeux de mots et l’ironie nous comblent d’amusement. (…) Dans ce huis clos... Lire plus
On aime la diction à l’honneur, portée sur les planches par ce père et ce fils si talentueux. Les jeux nerveux des deux comédiens sont contrebalancés par les expressions presque lyriques, dont les jeux de mots et l’ironie nous comblent d’amusement. (…) Dans ce huis clos unique, les costumes en imposent, surtout celui de Daniel Mesguich. « Le souper »est une pièce passionnante à ne pas rater, une fête captivante pour la langue française, le théâtre et les amoureux de la famille Mesguich. Un petit bijou qui nous permet de réviser avec panache et éloquence notre histoire de France… Aurelie Brunet
FermerDans une scénographie et un jeu de lumières d’un esthétisme recherché, baroque et envoutant le spectateur est entraîné dans les abîmes des affres de cette lente accession au pouvoir parsemée de cadavres et de fantômes errants. ~ Jean-Pierre Hané - Culture-tops.fr
La création lumière intensifie les émotions. Le tout crée une atmosphère mystérieuse, sombre et terrifiante.
Un rôle qu'on dirait écrit pour la carrure et l'incroyable jeu de William Mesguich, qui ajoute ici un nouveau personnage hors normes à sa palette déjà bien fournie.
Il inscrit son Richard 3 dans la lignée de celui en 2016 de Thomas Jolly à l’Odéon. Ce Shakespeare est violent et fantasmagorique. La troupe finit d’aiguiser le biais singulier de la construction. Ils sont remarquables.
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S. Cojannot (Violette) est bouleversante. Elle mène avec engagement ce spectacle poignant comme ses partenaires : F. Cabaret, N. Darmon et S. Debure, tous trois impeccables. La mise en scène donne à cette singulière quête identitaire une vraie densité.
La pièce met nos esprits en ébullition. Par impératif, car la pièce est poignante et nécessaire !
D’autant plus urgent de raconter cette incroyable histoire que les derniers enfants issus de Lebensborn avoisinent aujourd’hui les 80 ans ! Quelques réserves ? Aucune et l’on recommande à ceux qui assisterons à l’une des représentations de rester pour le débat.
Les Petits Chevaux est de ces pièces dont on ne sort pas indemne et que l’on recommande à tous comme d’assister à un bord de plateau.
Mis en scène et interprété de la plus belle des manières.
Source
Interprétée avec talent et finesse, un drame napolitain autour d’une jeunesse qui ne trouve pas sa place dans le monde.
SourceL'entrée est conçue pour assurer une accessibilité optimale aux personnes à mobilité réduite. Renseignements par téléphone au 01 87 446 111.
Boissons et petite restauration accessibl au public avant et après les spectacles. Espace intérieur et terrasse.