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A voir en septembre | Une réflexion sur la violence politique, l'engagement et les dilemmes éthiques mis en scène par Maxime D'ABOVILLE qui porte les mots de CAMUS

Brèves

Au Théâtre de Poche-Montparnasse, « Les Justes » d’Albert CAMUS, mis en scène par Maxime D'ABOVILLE, revient sur un épisode historique méconnu : l’attentat perpétré en 1905 à Moscou contre le Grand-Duc Serge, oncle du Tsar.

La pièce met en scène un groupe de jeunes révolutionnaires russes du Parti Socialiste Révolutionnaire, tiraillés entre leur idéal de justice et les moyens violents employés pour l’atteindre, prêts à tuer pour une cause, oui… mais à quel prix ?

 

La distribution, composée de quatre comédiens incarnant cette tension morale, révèle toute la complexité des « meurtriers délicats » chers à CAMUS. L’attentat devient un théâtre intérieur, où chaque conviction vacille face à la valeur de la vie humaine.

 

« Si la seule solution est la mort, nous ne sommes pas sur la bonne voie. La bonne voie est celle qui mène à la vie, au soleil. On ne peut avoir froid sans cesse. »

– Albert CAMUS, Les Justes (1952)

 

Le spectacle s’inscrit dans une réflexion sur la violence politique, l'engagement et les dilemmes éthiques que soulève l’action révolutionnaire, car « même dans la destruction, il y a un ordre, il y a des limites. »

 

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