Jean vit avec Marie, la femme qu’il aime depuis trente ans. Mais il est également amoureux d'une jeune femme et l’avoue à sa femme. Marie, amoureuse d'un homme de son âge, demande à Jean de la laisser partir, mais Jean ne veut pas. Il aime bien sa vie : sa jeune maîtresse l'après-midi et sa femme le soir.
Au bout du rouleau, Marie demande à son amant, pharmacien, de lui fabriquer un poison. C'est ça ou elle le quitte. Le pharmacien, qui aime Marie par-dessus tout, s’exécute. Jean boit le poison… mais ne meurt pas. Il faut recommencer l'assassinat. Jean ne meurt toujours pas. Il faut re-recommencer. Mais jusqu'à quand va-t-on tenter de tuer ?
Une très belle leçon de vie et d'espoir parce que : « Tant qu'il y a de l'amour »… C'est pas mort.
Absolument génial, j'ai beaucoup ri, des acteurs fabuleux , Marie- Anne Chazel absolument grande comédienne, malgré son handicape d'un pied cassé.
Ne parlons pas de Patrick Chesnais une performance de gags, et de rebondissements j'adore cet excellant comédien qui ma fais beaucoup rire.
Et puis mon chouchou de longues dates, Laurent Gamelon, comment garder son serieu avec une bande de comédiens aussi talentueux les fous rires étaient communicatif avec les spectateurs. Valerie Begue une très belle comédienne et prometteuse.
Merci pour cette belle journée et nous aurons toujours de l'AMOUR pour vous
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Un parfait moment de divertissement avec beaucoup de rire
Merci pour cette soirée
Ces cinq étoiles sont pour les acteurs. L'auteur ne m'en voudra pas de dire que la pièce est une folie, un prétexte, créant une situation abracadabrantesque en réunissant des gens plutôt gentils pour leur faire commettre des atrocités. Tout part en vrille, dans une sorte de délire magistralement interprété par Patrick Chesnais, Marie-Anne Chazel et Laurent Gamelon. Il n'y a là aucune "mécanique du rire", mais avec une intensité intérieure tellement forte que l'acteur confine au génie. Sorte de clowns shakespeariens, ils entraînent le public dans le rire, alors qu'il y a un fond tragique. Ce qu'ils parviennent à faire est pratiquement insensé, inimaginable, ils sont en permanence en situation quelque folle qu'elle puisse être. Bravo à Anne-Bourgois pour sa fine, je dis bien fine, direction d'acteurs. La salle était heureuse et leur a même fait une standing ovation. Ils sont tous les trois grandioses avec une mention supplémentaire pour Marie-Anne Chazel qui, en dépit d'une cheville cassée parvient à se mouvoir de manière surprenante. ILS SONT TOUS LES TROIS GRANDIOSES !
jjE