Majola

Un texte noir qui tient l'attention du spectateur, qui lui coupe le souffle... Marc F Duret, excellent et hypnotique en journaliste ambigu et torturé qui a perdu ses illusions, qui assume de sacrifier ses nuits pour protéger l'avenir. Et Duncan Talhouët, porteur du besoin de savoir, de comprendre, de venger.

Majola

Cette enquête aux allures de thriller autour d'une femme à la trajectoire si particulière, pose très adroitement des questions morales et existentielles... (...)Son sujet, son écriture et son interprétation ne pourront que séduire et impressionner ceux qui iront la découvrir.

Majola

Orchestrée savamment par la metteuse en scène d'Amok et d'Eldorado 1528, cette joute verbale est passionnante parce qu'elle touche au plus profond les blessures de l'Histoire, et que c'est un devoir de mémoire.

Majola

Une mise en scène minimaliste qui laisse toute la place aux comédiens. Une composition glaçante de Caroline Darnay: Le spectacle parfait pour une réflexion sur le devoir de mémoire aux jeunes générations.

Looking for Jaurès

Choses Vues : Une difficile performance réussie, Patrick Bonnel est un comédien habité par sa recherche sur Jean Jaurès. …Une mise en scène habile de Marie Sauvaneix soutient le comédien.

Looking for Jaurès

Puissent les jeunes générations entendre ces mots… Patrick Bonnel nous donne accès à l’homme qui vibre derrière la figure historique avec talent, une belle générosité et sans prétention.

Looking for Jaurès

Annie hall music- « Looking for Jaurès » : un face-à-face empreint d’humanisme

Looking for Jaurès

Découvrir ce spectacle s’avère être une prise de conscience salutaire… Patrick Bonnel interprète avec bonheur cette personnalité incontournable… Cette main tendue du passé vers le présent doit être saisie afin d’apporter davantage d’espoir dans... Lire plus

Découvrir ce spectacle s’avère être une prise de conscience salutaire… Patrick Bonnel interprète avec bonheur cette personnalité incontournable… Cette main tendue du passé vers le présent doit être saisie afin d’apporter davantage d’espoir dans ce siècle en décomposition.

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Looking for Jaurès

On est impressionné par la performance de Patrick Bonnel … La mise en scène est particulièrement astucieuse, qui sait emmener le spectateur par sauts successifs… On l’aura compris : cette pièce parvient à enseigner sans aucun didactisme, mais bien en incarnant et actualisant.

Looking for Jaurès

Un captivant monologue à « deux voix »… Des propos qui prennent évidemment une résonnance particulière aujourd’hui, entrecoupées par les mélodies du compositeur et accordéoniste David Venitucci et des répliques cocasses.

Looking for Jaurès

Patrick Bonnel, parfaitement bien dirigé par Marie Sauvaneix réussit ce dédoublement avec talent… Un spectacle d’une grande humilité à l’humour vif… qui fait résonner son message plus actuel que jamais. Une réussite.

Looking for Jaurès

Dans une mise en scène sobre mais très joueuse assurée par Marie Sauvaneix... Plus que la chair, le spectacle vise des cervelles, celles de la jeunesse… Ce spectacle d’utilité publique est un vibrant « appel à la Jaurès d’aujourd’hui » !

Looking for Jaurès

Une magnifique réflexion sur notre époque… construit d’une manière admirable… accompagné par la mise en scène au cordeau de Marie Sauvaneix, l’excellent Patrick Bonnel nous entraîne sur les traces de celui qui, plus de cent ans après sa mort, éveille...

Looking for Jaurès

Aussi ludique qu’instructif.

« Looking for Jaurès » : une voix qui porte encore, jusqu’au-delà des planches … un portrait passionné du militant des droits sociaux et de la paix … bien dosé, avec une belle rasade d’humour et une réflexion sur le métier de...

Looking for Jaurès

Une évocation vibrante et forte… Looking for Jaurès interroge la théâtralité du politique et la responsabilité politique du théâtre… Les applaudissements nourris qui lui répondent nous laissent présumer que la lutte et l'espérance restent encore...

Looking for Jaurès

Une vraie performance

Bluffant, brillant, et tellement actuel… une vraie performance… Patrick Bonnel joue avec une grande sincérité et fait revivre sous nos yeux le fondateur du socialisme… Allez applaudir cette création de Marie Sauvaneix et Patrick Bonnel, tout en humour et en émotion.

A cœur perdu

Une interprète fabuleuse, d’une beauté solaire. Un hymne à la vie.

Une interprète fabuleuse, qui danse, qui bouge, qui est d’une beauté solaire, rayonnante. Et même drôle, souvent. Elle transmet le drame d’Emmanuelle. Et qui le transfigure.

A cœur perdu

La comédienne sait nous captiver,

La comédienne sait nous captiver, nous offrant parfois d’épatantes chorégraphies. On sent très vite la maîtrise de la chose dansée, avec une grâce, une élégance, omniprésentes, une sensualité affirmée. Yves Poey Lire plus

La comédienne sait nous captiver, nous offrant parfois d’épatantes chorégraphies. On sent très vite la maîtrise de la chose dansée, avec une grâce, une élégance, omniprésentes, une sensualité affirmée. Yves Poey

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A cœur perdu

Formidable actrice. Anthony

A cœur perdu

Carmen Vadillo a cette énergie communicative, cette force de vie. Lumineuse et solaire, elle nous subjugue par ses trilles, sa gestuelle

Carmen Vadillo a cette énergie communicative, cette force de vie. Lumineuse et solaire, elle nous subjugue par ses trilles, sa gestuelle - toute théâtrale -, ses pas de danse et... son accent. Il est poésie, baume, évasion. Dans cette invitation au grand voyage, on ne pouvait trouver meilleure... Lire plus

Carmen Vadillo a cette énergie communicative, cette force de vie. Lumineuse et solaire, elle nous subjugue par ses trilles, sa gestuelle - toute théâtrale -, ses pas de danse et... son accent. Il est poésie, baume, évasion. Dans cette invitation au grand voyage, on ne pouvait trouver meilleure interprète pour de si jolis mots. Patrick Adler

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A cœur perdu

Carmen Vadillo, merveilleuse comédienne, nous fait vivre les moments forts de ce passage vers la mort et son retour à la vie.

Carmen Vadillo, merveilleuse comédienne, nous fait vivre les moments forts de ce passage vers la mort et son retour à la vie. Dans un jeu chorégraphié, elle nous transporte avec allégresse dans ce pays onirique et fascinant dont elle ne veut pas revenir, tellement les émotions sont fortes. Elle donne... Lire plus

Carmen Vadillo, merveilleuse comédienne, nous fait vivre les moments forts de ce passage vers la mort et son retour à la vie. Dans un jeu chorégraphié, elle nous transporte avec allégresse dans ce pays onirique et fascinant dont elle ne veut pas revenir, tellement les émotions sont fortes. Elle donne corps à la légèreté de la vie. Frédérique Moujart

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A cœur perdu

Une narration intense.

Une narration intense. Carmen Vadillo touche le spectateur, comme si elle nous prenait par la main pour nous guider dans cet entre-deux mystérieux. Son jeu est sobre et vibrant à la fois. Une odyssée spirituelle. Marina Yaloyan

A cœur perdu

Une participation à la beauté du monde

A cœur perdu

Une performance pleine d’allégresse.

Une performance pleine d’allégresse. Carmen Vadillo apporte grâce et sensualité à une mise en scène subtile et pleine de poésie. Dans un jeu sensible et chorégraphié, sur des musiques et chansons de Pink Floyd et de Françoise Hardy, elle danse, chante, flotte entre deux... Lire plus

Une performance pleine d’allégresse. Carmen Vadillo apporte grâce et sensualité à une mise en scène subtile et pleine de poésie. Dans un jeu sensible et chorégraphié, sur des musiques et chansons de Pink Floyd et de Françoise Hardy, elle danse, chante, flotte entre deux mondes. Corinne Moriou

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A cœur perdu

Carmen Vadillo accomplit une performance émouvante, revisitant avec ses tripes ce voyage exceptionnel.

Carmen Vadillo accomplit une performance émouvante, revisitant avec ses tripes ce voyage exceptionnel. De facto, une véritable osmose s’opère entre l’autrice et cette merveilleuse comédienne dans une salle tétanisée et totalement à l’écoute. Laurent Schteiner Lire plus

Carmen Vadillo accomplit une performance émouvante, revisitant avec ses tripes ce voyage exceptionnel. De facto, une véritable osmose s’opère entre l’autrice et cette merveilleuse comédienne dans une salle tétanisée et totalement à l’écoute. Laurent Schteiner

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Parlons, il est temps

Parce que ce qui est personnel peut être universel.

Parlons, il est temps

Philippe Aractingi a eu l'audace d'exprimer des sujets personnels de sa vie dans lesquels nous pourrions tous nous retrouver.

Parlons, il est temps

La pièce de Philippe et Lina offre une expérience immersive et multimédia qui plonge le spectateur dans un monde unique.

Parlons, il est temps

Ce spectacle invite le public à découvrir la vie du cinéaste, qui se dévoile avec humilité, simplicité, une touche d'autodérision et d'humour occasionnel.

Parlons, il est temps

Aractingi a abordé le thème de la guerre et de sa laideur, révélant qu'elle lui avait ôté sa naïveté… Cependant, ce qui revêt le plus d'importance, c'est qu'Aractingi a décidé d'enterrer la guerre une fois pour toutes, de manière propre et figurée…

Léo Ferré, tu connais ? Par Emmanuel Depoix

Si ça vous chante d’être ému, emporté, amusé, mélancolé, allez écouter Depoix chanter Ferré.

Il y a peu de spectacles qui procurent, lorsqu’on les quitte, un plaisir pur, comme si on avait voyagé dans les paysages de nos émotions. Si ça vous chante d’être ému, emporté, amusé, mélancolé, allez écouter Depoix chanter Ferré. Lire plus

Il y a peu de spectacles qui procurent, lorsqu’on les quitte, un plaisir pur, comme si on avait voyagé dans les paysages de nos émotions. Si ça vous chante d’être ému, emporté, amusé, mélancolé, allez écouter Depoix chanter Ferré.

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Léo Ferré, tu connais ? Par Emmanuel Depoix

Le Chant Laboureur : C’est inouï.

On ne va pas y aller par mille et un détours. C'est tout simplement l'un des plus beaux spectacles Ferré que vous puissiez vivre. On est dans l'intensité de l'intime humain, là où le cœur gronde la solitude, là où le poing ne triche pas. C’est inouï. Lire plus

On ne va pas y aller par mille et un détours. C'est tout simplement l'un des plus beaux spectacles Ferré que vous puissiez vivre. On est dans l'intensité de l'intime humain, là où le cœur gronde la solitude, là où le poing ne triche pas. C’est inouï.

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Léo Ferré, tu connais ? Par Emmanuel Depoix

L'artiste en impose par sa présence magnétique.

L'artiste en impose par sa présence magnétique. En délivrant des versions habitées de morceaux méconnus, il s'approprie avec une ardeur folle, à tel point qu'on croirait qu'ils sont siens, les emportements, la tendresse et le cynisme de Ferré. Une occasion admirable de redécouvrir... Lire plus

L'artiste en impose par sa présence magnétique. En délivrant des versions habitées de morceaux méconnus, il s'approprie avec une ardeur folle, à tel point qu'on croirait qu'ils sont siens, les emportements, la tendresse et le cynisme de Ferré. Une occasion admirable de redécouvrir Ferré.

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Bernard Dimey par Emmanuel Depoix

Quand Depoix joue et chante, la poésie universelle et souvent bouleversante du grand poète populaire, débarrassée de tout vintage et de toute gouaille, va droit au coeur, à l’âme et à l’esprit.

Le vrai visage de Bernard Dimey est à révéler. Quand Depoix joue et chante, la poésie universelle et souvent bouleversante du grand poète populaire, débarrassée de tout vintage et de toute gouaille, va droit au coeur, à l’âme et à l’esprit. Jean-Luc Caradec.

Bernard Dimey par Emmanuel Depoix

Le pianiste, compositeur et interprète Emmanuel Depoix délivre des textes moins connus mais merveilleux de bout en bout et parfois infiniment tendres qui laissent tous leur empreinte au coeur. Pierre Vavasseur.

Rossignol à la langue pourrie

La force du ravissement ! On est conquis. Pierre FRANÇOIS

Rossignol à la langue pourrie

Agathe Quelquejay, étincelante dans la souffrance chorégraphiée comme dans la sérénité

"La mise en scène de Guy-Pierre Couleau fait la part belle, dans un décor dépouillé, à l’expressivité corporelle de l’interprète Agathe Quelquejay, étincelante dans la souffrance chorégraphiée comme dans la sérénité. Après avoir... Lire plus

"La mise en scène de Guy-Pierre Couleau fait la part belle, dans un décor dépouillé, à l’expressivité corporelle de l’interprète Agathe Quelquejay, étincelante dans la souffrance chorégraphiée comme dans la sérénité. Après avoir contraint et fait plier son corps dans des mouvements dansés de crispation et de tension, elle se déploie dans l’espace, entre grâce et douceur. Et pour la « Jasante de la vieille », l’actrice revêt une robe moirée somptueuse, celle de la Mère. Musiques et chansons actuelles livrent respiration et repos(...) Agathe Quelquejay est fille, garçon ou adolescent, mère âgée, jouant des métamorphoses du visage, de la posture, de la voix ou de l’intonation, jouant avec la musique des mots, parlant un argot capté d’emblée, significatif de la condition du Pauvre de tous les temps, aujourd’hui « migrant », « réfugié », « sans papier », « sans abri. » Ecoutez-la et entendez-les." Véronique Hotte

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Rossignol à la langue pourrie

un spectacle admirable, mis en scène de façon magistrale

Agathe Quelquejay est éblouissante : On est transporté par son incarnation de chaque personnage. C'est comme si on était partie intégrante de l'histoire tant tout sonne juste. C'est un spectacle admirable, mis en scène de façon magistrale par Guy-Pierre CouleauDavid Season- Lire plus

Agathe Quelquejay est éblouissante : On est transporté par son incarnation de chaque personnage. C'est comme si on était partie intégrante de l'histoire tant tout sonne juste. C'est un spectacle admirable, mis en scène de façon magistrale par Guy-Pierre CouleauDavid Season-

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Rossignol à la langue pourrie

C'est magnifique

G-P Couleau signe une mise en scène d'une beauté saisissante. Avec ses cheveux courts, son joli minois, sa silhouette androgyne, Agathe Quelquejay est exceptionnelle. Dans un jeu lumineux, elle fait vibrer cette langue argotique et les maux de son époque, si cruellement actuels. C'est magnifiqu e Lire plus

G-P Couleau signe une mise en scène d'une beauté saisissante. Avec ses cheveux courts, son joli minois, sa silhouette androgyne, Agathe Quelquejay est exceptionnelle. Dans un jeu lumineux, elle fait vibrer cette langue argotique et les maux de son époque, si cruellement actuels. C'est magnifique

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Rossignol à la langue pourrie

Le théâtre, à l'un de ses niveaux les plus hauts- Gilles Costaz

Rossignol à la langue pourrie

De quoi redonner à Rictus le sourire !

L'ARGOT COLORÉ du poète montmartrois Jehan-Rictus (1867-1933), la comédienne Agathe Quelquejay ne le parle comme personne. (...) Tout cela n'a pas pris une ride et est mis en scène par Guy-Pierre Couleau, qui joue sur la sobriété : juste des bougies vacillantes pour décor et un jeu de... Lire plus

L'ARGOT COLORÉ du poète montmartrois Jehan-Rictus (1867-1933), la comédienne Agathe Quelquejay ne le parle comme personne. (...) Tout cela n'a pas pris une ride et est mis en scène par Guy-Pierre Couleau, qui joue sur la sobriété : juste des bougies vacillantes pour décor et un jeu de lumières aussi impeccable que la bande son. De quoi redonner à Rictus le sourire ! Mathieu Perez

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Rossignol à la langue pourrie

Incarnés par la stupéfiante Agathe Quelquejay, admirablement mis en scène par Guy-Pierre Couleau, les mots de Jehan-Rictus (1867-1933), poète des laissés-pour-compte et des affligés, résonnent avec une force peu commune

Incarnés par la stupéfiante Agathe Quelquejay, admirablement mis en scène par Guy-Pierre Couleau, les mots de Jehan-Rictus (1867-1933), poète des laissés-pour-compte et des affligés, résonnent avec une force peu commune. D’une exceptionnelle intensité... Lire plus

Incarnés par la stupéfiante Agathe Quelquejay, admirablement mis en scène par Guy-Pierre Couleau, les mots de Jehan-Rictus (1867-1933), poète des laissés-pour-compte et des affligés, résonnent avec une force peu commune.

D’une exceptionnelle intensité dramatique, interprétée avec une précision et une véracité qui bouleversent, la partition argotique et poétique mise en scène par Guy-Pierre Couleau transperce le cœur. Il en a confié l’interprétation à la stupéfiante Agathe Quelquejay, dont le jeu infiniment nuancé fait vivre chaque personnage de manière poignante : en un geste elle dit l’insupportable violence, en un chuchotement le piétinement de la dignité, en un regard l’attente éperdue d’une consolation… Ce sont tous les damnés de la terre, tous les laissés-pour-compte qui trouvent ici une voix qui les représente, un corps qui les incarne, sans afféterie ni sensiblerie. À la lecture, les octosyllabes de Jehan-Rictus pourraient paraître datés, voire pas si aisément compréhensibles. Mais sur la scène, dans cet espace épuré semblable à une crypte sculptée par les belles lumières de Laurent Schneegans, à chaque instant les mots comme les silences impriment leur marque avec la force d’une évidence née du ressenti.

Une langue singulière et une absolue vulnérabilité

Il faut dire que Jehan-Rictus (de son vrai nom Gabriel Randon), né en 1867 d’une mère maltraitante et d’un père absent, fuyant à 16 ans le domicile familial, a vécu de longues années de galère avant de connaître un certain succès, en tant qu’interprète dans les cabarets de la Butte Montmartre, grâce à ses recueils poétiques Les Soliloques du pauvre et Le Cœur populaire. Extraites de ce second recueil, les six histoires choisies par Guy-Pierre Couleau nous immergent dans un monde où chaque être est claquemuré dans sa condition de démuni, alors qu’à la charnière de deux siècles dans un monde en plein révolution industrielle la violence et la pauvreté se répandent. Dans une langue simple puissamment expressive, ces poèmes d’un réalisme cru et poignant ne disent pas seulement la grande misère des faubourgs de ce début de XXe siècle, ils disent aussi la misère des exclus de toute époque et de tout lieu. De l’enfant maltraité (Les petites baraques et La frousse) à l’adolescente violée (Idylle), d’une fille perdue à la déchirante prière aux mères amputées de leurs petiots s’exprime une absolue vulnérabilité. Rendus palpables par cette langue singulière issue du petit peuple ignoré et méprisé, la multiplicité des destins fracassés laisse émerger leur commune humanité. Âpre, cruelle, élégante, la partition finement orchestrée éclaire le dénuement de ceux qu’on préfère croire invisibles.

Agnès Santi

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La rivière à l'envers - TOMEK

Des comédiens de talent

La rivière à l'envers - TOMEK

Un spectacle qui fait grandir

La rivière à l'envers - TOMEK

Fraîcheur et merveilleux

La rivière à l'envers - TOMEK

On ne s'ennuie jamais

La rivière à l'envers - TOMEK

Mieux que n'importe quel film d’animation!

La rivière à l'envers - TOMEK

Très bonne adaptation

La rivière à l'envers - TOMEK

L’humour ne manque pas

La rivière à l'envers - TOMEK

Brillante mise en scène

La rivière à l'envers - TOMEK

Frais et joyeux!

La rivière à l'envers - TOMEK

Sur scène, quatre jeunes comédiens interprètent avec justesse et ardeur les différents épisodes de cette quête pour la vie, pour l’amour. De l’humour et de l’émotion à partager en famille.

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Un Fauteuil Pour l’Orchestre

Que l’on ait 5 ou 50 ans, le charme est irrépressible … une pièce à la surprenante densité où chacun peut y trouver son compte.

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Les Trois Coups

Une relecture vivifiante du récit classique. Oubliez les comptines mielleuses pour enfants ! Ce sont de vrais morceaux qui vous attendent

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

I/O Gazette

Un spectacle musical très entraînant et plein d’humour qui peint avec délicatesse le passage de l’enfance à l’âge adulte

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Quejadore Kids

On retrouve beaucoup d’ironie dans l’écriture de cette pièce, mais aussi une candeur réconfortante qui nous ramène à ce qu’il y a de plus pur dans l'imaginaire.

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Coup de cœur

Dans cette comédie musicale, aux chansons rock et bien ficelées, Aurore est tout sauf mièvre. Et elle a bien autre chose à faire que de se trouver un prince charmant. Les personnages ont des caractères bien trempés, et les dialogues sont hilarants. Coup de cœur ».

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

TT "Quatre comédiens-chanteurs et musiciens interprètent avec allant cette comédie sentimentale en chansons. De bons ingrédients (dont l’utilisation d’images vidéo en introduction et comme décor) pour cette réécriture à apprécier en famille.

Sous le sapin, d’après l'univers de Casse-noisette

Une exquise adaptation de Casse-Noisette d’après Tchaïkovski, au Théâtre de l’Essaïon!

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Pôvre vieille démocrasseuse

Cette femme caoutchouc distille sa philosophie avec une diction parfaite et une naïveté confondante nourrie de citations retroussées, de proverbes introvertis, cueillis sur le champ. Quel vent de fraicheur dans ce festival !

Pôvre vieille démocrasseuse

Mis en scène avec un infini talent par Marie Thomas et Michel Bruzat. Une heure de rires, suspendus aux lèvres et au geste d’une comédienne éblouissante. Lumineux !

Pôvre vieille démocrasseuse

Spectacle admirable, unique et nécessaire de Michel Bruzat. Marie Thomas est absolument absolue, sans égale actuelle

Pôvre vieille démocrasseuse

C’est d’une drôlerie absolue, d’une belle intelligence...Bravo !

Pôvre vieille démocrasseuse

Sur scène, l’esstradinaire Marie Thomas incarne ce clown... elle a ce naturel, une maîtrise parfaite de cette langue truculente. On jurerait que Favreau à crée ce personnage pour elle

Comment va le monde ?

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Comment va le monde ?

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Comment va le monde ?

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Comment va le monde ?

Sol au monde. Le clown, ici, n’est plus un acteur mais une actrice. Marie Thomas a son étrangeté personnelle : une force de diable sortant de sa boite, un art de triturer les mots en Arlequin féminin, une voix foraine et bagarreuse.

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Comment va le monde ?

Un seul en scène intemporel qui tient de la performance sans avoir l’air d’y toucher.

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Comment va le monde ?

une expérience pleinement réussie.

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Comment va le monde ?

Les textes de Sol, interprétés par Marie Thomas, laissent libre cours à la douce folie d’un clown qui observe le mouvement d’une planête à la dérive. Subtil, très drôle et pas seulement. De la belle ouvrage

Comment va le monde ?

Attention ! ça va vite ! La comédienne, sensible, à la diction épatante, au jeu précis, à l’air enfantin, ne nous fait rien perdre des textes et nous offre 70 minutes de calembours, de néologismes et de poésie.

Le Retour aux souches

Dans Retour aux Souches du Québécois Marc Favreau, l’actrice défend avec brio ce texte dont la langue est cousine de celle d’un Raymond Devos. Elle fait sonner et entendre cette haute fantaisie langagière de manière fine et percutante. Elle lui donne toute sa saveur, sa drôlerie et sa force... Lire plus

Dans Retour aux Souches du Québécois Marc Favreau, l’actrice défend avec brio ce texte dont la langue est cousine de celle d’un Raymond Devos. Elle fait sonner et entendre cette haute fantaisie langagière de manière fine et percutante. Elle lui donne toute sa saveur, sa drôlerie et sa force pour dénoncer ce qu’elle a à dénoncer : la folle humanité qui déboussole le monde.

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Le Retour aux souches

Un Retour aux souches plein de poésie et de profondeur, interprété par une comédienne exceptionnelle de force et de justesse On sourit et rit en permanence de ces acrobaties verbales… Suivre, écouter Sol, avec son petit chapeau de rien du tout, c’est aspirer à l’émerveillement,... Lire plus

Un Retour aux souches plein de poésie et de profondeur, interprété par une comédienne exceptionnelle de force et de justesse On sourit et rit en permanence de ces acrobaties verbales… Suivre, écouter Sol, avec son petit chapeau de rien du tout, c’est aspirer à l’émerveillement, à l’humanité, et même à la simplicité, c’est se dire que le monde pourrait être tellement plus beau si on le voulait vraiment. Mise en scène par Michel Bruzat, Marie Thomas est parfaite dans le rôle.

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N’est pas Père-Noël qui veut !

Un spectacle drôle, enlevé, interactif à découvrir d’urgence. Pour dérider nos minus entre 4 à 11 ans juste avant les fêtes, la pièce tombe à pic.

Panique chez les Lutins depuis que le Père Noël a disparu la veille du grand jour. Ils organisent donc un casting pour tenter de le remplacer au pied levé. Malheureusement, comme le titre le laisse présager, n’est pas Père Noël qui veut… Les candidats se succèdent donc avec plus ou moins... Lire plus

Panique chez les Lutins depuis que le Père Noël a disparu la veille du grand jour. Ils organisent donc un casting pour tenter de le remplacer au pied levé. Malheureusement, comme le titre le laisse présager, n’est pas Père Noël qui veut… Les candidats se succèdent donc avec plus ou moins de panache pour endosser le rôle […] Un spectacle drôle, enlevé, interactif à découvrir d’urgence. Mention spéciale au lutin « faussement gentil » joué avec beaucoup de talent et pas mal d’espièglerie par Lissa Trocmé. Pour dérider nos minus entre 4 et 11 ans juste avant les fêtes, la pièce tombe à pic.

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N’est pas Père-Noël qui veut !

Quelle belle surprise que ce spectacle de la compagnie Scénofolies ! C'est fin et malicieux. Rythmé et vraiment très drôle. Un vrai coup de cœur.

Catastrophe ! A quelques jours de sa tournée, le Père Noël a disparu. Comment faire ? Il faut lui trouver un remplaçant et vite ! Dare-dare, les lutins, tout en grandes oreilles et souliers à grelots, organisent un casting. Les premiers candidats arrivent. Et ils sont carrément loufoques… Quelle... Lire plus

Catastrophe ! A quelques jours de sa tournée, le Père Noël a disparu. Comment faire ? Il faut lui trouver un remplaçant et vite ! Dare-dare, les lutins, tout en grandes oreilles et souliers à grelots, organisent un casting. Les premiers candidats arrivent. Et ils sont carrément loufoques… Quelle belle surprise que ce spectacle de la Compagnie Scénofolies Paris ! C'est fin et malicieux. Rythmé et vraiment très drôle. Les parents rigolent autant que les enfants devant Fondue, le petit pingouin timide, le yéti foldingue et sa version rock de Vive le Vent ou le vieux Saint-bernard qui a bu un peu trop de rhum du tonneau qu'il porte autour du cou. Antonio, taureau espagnol, lunettes de soleil et chaîne en or aurait bien ses chances, mais à la vue du rouge, il devient incontrôlable. Compliqué pour un Père Noël… Sur scène, dans cette ambiance un peu foutraque, les comédiens semblent s'amuser autant que le public. Pour les aider dans leur choix, ils sollicitent en permanence les petits spectateurs, qui participent à fond. Et tout ce petit monde entonne en chœur un joyeux Petit Papa Noël en chant final. Un vrai coup de cœur.

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N’est pas Père-Noël qui veut !

Nous avons adoré!

Nous avons adoré! Courrez voir cette pièce qui ravira les petits comme les grands. A un rythme effréné, les personnages se succèdent tous plus loufoques les uns que les autres et magnifiquement interprétés par des comédiens de talents. On rit, on chante et on en ressort des... Lire plus

Nous avons adoré! Courrez voir cette pièce qui ravira les petits comme les grands. A un rythme effréné, les personnages se succèdent tous plus loufoques les uns que les autres

et magnifiquement interprétés par des comédiens de talents. On rit, on chante et on en ressort des étoiles plein les yeux!

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Et Si...de Chris Haughton

Courrez voir ce charmant spectacle qui captive les petits du début à la fin... Les deux comédiens se fondent dans un décor aux couleurs chaleureuses, les mélodies sont entrainantes et les jeux d’ombre très efficaces, on aime le travail de cette compagnie déjà remarquée dans... Lire plus

Courrez voir ce charmant spectacle qui captive les petits du début à la fin...

Les deux comédiens se fondent dans un décor aux couleurs chaleureuses, les mélodies sont entrainantes et les jeux d’ombre très efficaces, on aime le travail de cette compagnie déjà remarquée dans leur spectacle Eutrot (également à l’Essaion)

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Et Si...de Chris Haughton

Les 35 minutes colorées suffisent à partager de beaux messages avec intelligence et finesse respectant parfaitement l’esthétique de l’œuvre originale.

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Et Si...de Chris Haughton

TT - De beaux effets visuels. Ici, la désobéissance est une vraie quête initiatique et les jolies bêtises riment avec gourmandise

Le Roman de Renart

Un Roman de Renart qui ravit les enfants. La Compagnie Parciparlà en a fait une magistrale comédie bouffonne qui fascine les enfants et les enchante jusqu’au dénouement... Même les parents jubilent(...) A voir en famille!"

Le Roman de Renart

Construite sur les moments les plus hilarants du Roman de Renart, cette comédie bouffonne interprétée par d’excellents comédiens nous plonge dans une savoureuse ambiance animalière. (...) Une réussite

Le Roman de Renart

Une adaptation moderne et drôle, avec un parti pris original et très amusant !

Le Roman de Renart

Un divertissement qui provoque l’enthousiasme général chez les jeunes spectacteurs !

Le Roman de Renart

Le Roman de Renart, un spectacle interactif, où on pleure de rire et où les comédiens sont excellents !

Entre Ciel et Chair D’après « Une passion » de Christiane Singer

Un régal.

Le texte de Christiane Singer est magnifique. Christelle Willemez épouse toutes les couleurs de ce destin de femme. Sa voix est un chant d’amour et de lumière dans la traversée de la souffrance. Birgit Yew accompagne ce chant sublime ou donne une respiration comme une élévation. Un...

Entre Ciel et Chair D’après « Une passion » de Christiane Singer

Une actrice absolument éblouissante... Un spectacle trés épuré, absolument magnifique.

Entre Ciel et Chair D’après « Une passion » de Christiane Singer

Un duo d’une prenante beauté. Une heure forte, un texte magnifique, un élan pour les âmes et les corps.

Entre Ciel et Chair D’après « Une passion » de Christiane Singer

La comédienne, accompagnée par la musique exceptionnelle de Michel Thouseau, illumine la scène.

La comédienne, accompagnée par la musique exceptionnelle de Michel Thouseau, illumine la scène. La sobriété des costumes et le jeu des lumières de Franck Vidal accentuent la magie du spectacle.

Entre Ciel et Chair D’après « Une passion » de Christiane Singer

Christelle Willemez transfigure une incarnation sublime de la passion flamboyante et éternelle.

Christelle Willemez transfigure une incarnation sublime de la passion flamboyante et éternelle. D’une beautée lumineuse, elle est bouleversante. La mise en scène épurée de Clara Ballatore met en valeur ce travail d’orfèvre comme un diamant brut qu’on taille.

Théâtre Essaïon

A l'affiche au Théâtre Essaïon

La presse parle du Théâtre Essaïon

Majola

Majola

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Looking for Jaurès

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A cœur perdu

A cœur perdu

A cœur perdu

A cœur perdu

A cœur perdu

A cœur perdu

A cœur perdu

A cœur perdu

A cœur perdu

Parlons, il est temps

Parlons, il est temps

Parlons, il est temps

Parlons, il est temps

Parlons, il est temps

Léo Ferré, tu connais ? Par Emmanuel Depoix

Léo Ferré, tu connais ? Par Emmanuel Depoix

Léo Ferré, tu connais ? Par Emmanuel Depoix

Bernard Dimey par Emmanuel Depoix

Bernard Dimey par Emmanuel Depoix

Rossignol à la langue pourrie

Rossignol à la langue pourrie

Rossignol à la langue pourrie

Rossignol à la langue pourrie

Rossignol à la langue pourrie

Rossignol à la langue pourrie

Rossignol à la langue pourrie

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

La rivière à l'envers - TOMEK

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Aurore – La Belle au Bois ne s’endort pas

Sous le sapin, d’après l'univers de Casse-noisette

Pôvre vieille démocrasseuse

Pôvre vieille démocrasseuse

Pôvre vieille démocrasseuse

Pôvre vieille démocrasseuse

Pôvre vieille démocrasseuse

Comment va le monde ?

Comment va le monde ?

Comment va le monde ?

Comment va le monde ?

Comment va le monde ?

Comment va le monde ?

Comment va le monde ?

Comment va le monde ?

Le Retour aux souches