De Nini BELANGER, Pascal BRULLEMANS
Beauté, Chaleur et Mort
La presse parle de Beauté, Chaleur et Mort


Parler de Beauté, Chaleur et Mort d’une manière détachée est impossible. Ce n’est pas un objet théâtral comme les autres. C’est une œuvre à part entière, mise en scène avec soin. En témoigne cette scénographie dépouillée, ce jeu... Lire plus
Parler de Beauté, Chaleur et Mort d’une manière détachée est impossible. Ce n’est pas un objet théâtral comme les autres. C’est une œuvre à part entière, mise en scène avec soin. En témoigne cette scénographie dépouillée, ce jeu retenu et ce texte capable d’autodérision. Alexandre Vigneault
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Nini Bélanger fait un théâtre de micro-détails. A cette esthétique de gestes précis, de chaleur et de lenteur, elle ajoute une impudeur supplémentaire, due au non-jeu, à l’apparente réalité de la situation à la diminution des frontières entre la... Lire plus
Nini Bélanger fait un théâtre de micro-détails. A cette esthétique de gestes précis, de chaleur et de lenteur, elle ajoute une impudeur supplémentaire, due au non-jeu, à l’apparente réalité de la situation à la diminution des frontières entre la scène et le vécu. Le couple manie un art raffiné : donner l’impression d’un théâtre qui se construit dans l’instant. Une démarche très rare sur nos scènes, et rarement exploitée avec autant de tendresse. Une des pièces les plus marquantes de la saison. Philippe Couture
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Tout le monde le sait : c’est habituellement quand on ose que tout se fait plus intéressant . Quand on choisit de plonger vraiment. Sur scène, la chose est tout aussi évidente. On se retrouve là, en plein cœur du risque, avec le troublant Beauté, Chaleur et Mort . Michel Bélair

Beauté, Chaleur et Mort n’est pas une œuvre grave, elle illustre la vie avec son lot de tristesse, de malheur et de cruauté, mais elle encourage l’humour et la légèreté. Florence Bessac

Une étrange expérience théâtrale profondément intéressante et enrichissante. Une démarche artistique réfléchie où, privilégiant l’hyperréalisme, Nini Bélanger poursuit toujours plus loin l’expérience de l’intime repoussant ainsi la... Lire plus
Une étrange expérience théâtrale profondément intéressante et enrichissante. Une démarche artistique réfléchie où, privilégiant l’hyperréalisme, Nini Bélanger poursuit toujours plus loin l’expérience de l’intime repoussant ainsi la limite entre scène et réalité. Marion Andreoli
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L’hyperréalisme, fondamentale question sur les limites de l’intimité, de l’impudeur, sur ce qui est représentable sur scène. Les scènes traversées d’ironie et de tendresse blessée, sont intenses. Elles ne tombent jamais dans le pathos, et pourtant elles arrachent le...