Paris

Entrez dans l'univers désopilant, sensible et drôle d'un jeune hypocondriaque confronté à notre monde !

Il est hypocondriaque, sa famille l'a surnommé Hypo.

Parvenu à sa majorité, il va lever le voile sur une histoire aussi drôle que touchante, la sienne.

Les deux coffres à jouets de sa chambre d'enfant vont déborder de souvenirs, tels des cornets à surprises.

 

Pour nous tous, le long chemin depuis ce qu' Hypo appelle "la caverne", jusqu'à la vie d'adulte, est rarement de tout repos. La croissance, la puberté, l'école, les parents, les premiers émois... On n'y est jamais préparé, et lui, encore moins.

 

Peurs, doutes, exaspérations et fantasmes sont savamment dosés dans ce spectacle mêlant névrose et paranoïa, sans jamais perdre le sens de la dérision.

 

Car Hypo est drôle à se moquer de lui et de nous-mêmes, feuilletant le Vidal, parlant de nutrition, s'inquiétant de multiples bobos, craignant sans cesse de respirer le même air que ses semblables, pour découvrir que son problème n'est pas seulement en lui, mais aussi dans le modèle de société qu'on nous propose...

 

Hypo, c'est Lucas Andrieu, jeune et talentueux comédien de 21 ans. Il tient le rôle, seul en scène, comme s'il avait mangé le personnage au petit-déjeuner. Tour à tour emporté, déprimé, caustique, illuminé, mais jamais tragique, il enlève le public pour une heure vingt de petit bonheur.

 

Distribution : Lucas ANDRIEU

Mise en scène : Xavier-Adrien LAURENT

Adaptation : Xavier-Adrien LAURENTLaura LEONI

Plan d’accès Théâtre de la Contrescarpe

Comment se rendre au Théâtre de la Contrescarpe

  • Place Monge (Ligne 7), Cardinal Lemoine (Ligne 10)
  • Luxembourg (RER B)
  • Monge (47), Cardinal Lemoine (47, 89) et Panthéon (84)
  • Soufflot-Panthéon
  • 5110, 5012, 5016
  • Paris/Lacépède et Paris/Monge

La presse en parle - Hypo

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Loufoquerie, humour noir et trouble !

Seul en scène d'après une oeuvre de Christian Astolfi, adaptation de Xavier-Adrien Laurent et Laura Léoni, mise en scène par Xavier-Adrien Laurent, interprété par Lucas Andrieu. Alors qu'il va franchir le pas de l'entrée dans le monde adulte, un jeune homme refait son parcours de vie, une... Lire plus

Seul en scène d'après une oeuvre de Christian Astolfi, adaptation de Xavier-Adrien Laurent et Laura Léoni, mise en scène par Xavier-Adrien Laurent, interprété par Lucas Andrieu.

Alors qu'il va franchir le pas de l'entrée dans le monde adulte, un jeune homme refait son parcours de vie, une vie pour le moins atypique et chaotique scandé par des péripéties racontées avec autant de cocasserie que d'autodérision.

Car Hypo, prénom qui est le diminutif, non d'Hyppolite, mais d'hypocondriaque attribué dès sa toute petite enfance, a développé un système comportemental de refus d'intégration au monde qui se manifeste par une hypocondrie névrotique agrémentée de troubles obsessionnels compulsifs associés.

Et, armé de sa Bible, le Vidal, le dictionnaire des médicaments, du portrait de son gourou, le Docteur House, et de son viatique, l'aérosol, il analyse et décrit ce trouble stomatoforme qui, conjugué à une précocité intellectuelle, un autocentrisme exacerbé et l'absence d'affect, frise également le symptôme autistique.

La partition monologale de "Hypo", qui hybride loufoquerie, humour noir et trouble, résulte de l'adaptation par Xavier-Adrien Laurent et Laura Léonid'une oeuvre éponyme de Christian Astolfi qui décrypte un trouble infantile qui conduit à se réfugier dans un univers artificiel pour retrouver la quiétude de la "caverne" foetale qui met à l'abri de tout et de tous avant d'être - heureusement - rattrapé par le principe de rélaité.

A la mise en scène, inspirée, Xavier-Adrien Lauren rend crédible cette autiobiographie-confession juvénile et immature en twistant judicieusement l'émotion, pour ne verser ni dans le pathos ni dans la caricature, et canalise l'énergie débordante du jeune interprète.

Avec ses deux malles "Fly The World - Over the crowd", faisant office de coffres à jouets et de boîtes à secrets, Lucas Andrieu, jeune pousse prometteuse, s'avère très à l'aise au jeu pour négocier l'alternance de tons et incarner un personnage empathique dans sa singularité.

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Un comédien à suivre !

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Son unique lecture est le « Vidal », livre sain Qui contient tous les secrets et même les vaccins...

« Hypo », un sous-être Atteint de mal-être, Fait une fixation sur les médicaments … En bouteille, qui seuls apaisent son tourment. Les autres le considèrent comme inférieur, Lui, le pense et en souffre en son for intérieur. Les panoplies de jouets d’apprenti... Lire plus

« Hypo », un sous-être
Atteint de mal-être,
Fait une fixation sur les médicaments …
En bouteille, qui seuls apaisent son tourment.
Les autres le considèrent comme inférieur,
Lui, le pense et en souffre en son for intérieur.

Les panoplies de jouets d’apprenti médecin
Surgissent des deux coffres de l’enfance, à dessein
De canaliser les pulsions, sans faire un dessin.
Son unique lecture est le « Vidal », livre sain
Qui contient tous les secrets et même les vaccins,
Véritable bible à faire se pâmer un saint !

Au « Théâtre de La Contrescarpe »,
Pas besoin de mettre votre écharpe,
Son mal n’est pas du tout contagieux,
Même quand son jeu devient fiévreux.
Il s’agite en tous sens …
Avec effervescence !

Auprès de « Tati Purée », il va beaucoup mieux,
Il n’y a qu’elle pour le rendre moins furieux.
Sa phobie familiale une fois surmontée,
Le syndrome de la caverne peut sauter ;
Jouer à la poupée devient réalité
En surmontant les affres de la puberté.

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La Parisienne Life
"Hypo est un terrain de jeu énorme pour un acteur."

RENCONTRE AVEC LUCAS ANDRIEU QUI EST ACTUELLEMENT À L’AFFICHE DE « HYPO » AU THÉÂTRE DE LA CONTRESCARPE ! Peux-tu te présenter à nos lecteurs ? J’ai 21 ans et je fais du théâtre depuis que j’ai 6 ans. J’ai toujours été passionné par... Lire plus

RENCONTRE AVEC LUCAS ANDRIEU QUI EST ACTUELLEMENT À L’AFFICHE DE « HYPO » AU THÉÂTRE DE LA CONTRESCARPE !

Peux-tu te présenter à nos lecteurs ?

J’ai 21 ans et je fais du théâtre depuis que j’ai 6 ans. J’ai toujours été passionné par le théâtre et le cinéma et après avoir obtenu un Bac L option cinéma à 18 ans, j’ai eu envie de monter « Hypo » car j’avais lu le roman. J’en ai parlé à Xavier-Adrien Laurent mon metteur en scène, nous l’avons monté et nous avons joué les premières à Toulon. Ensuite, je suis venu faire une école d’art dramatique à Paris durant deux ans au Lucernaire. En parallèle à mes études, « Hypo » s’est joué sur Toulon notamment au Palais des Congrès et quand j’ai terminé l’école, j’ai eu envie de le jouer à Paris. J’ai rencontré Maud Mazur la directrice du Théâtre de la Contrescarpe avec qui ça a accroché immédiatement, elle a été intéressée par le spectacle et j’ai été programmé dès ce printemps et comme ça a bien plu, « Hypo » est prolongé jusqu’en septembre.

Quel est le pitch de « Hypo » ?

« Hypo » est un solo théâtral d’1h20 qui raconte l’histoire d’un hypocondriaque qui est en marge de la société et de son temps. Hypo est décalé des « gens normaux » et des jeunes de son époque qu’il ne comprend pas. Durant 1h20, on vit avec lui son retour sur son enfance, on découvre comment il a vécu ça par rapport à ses parents qui ne le comprenaient pas mais aussi par rapport à sa Tatie Purée qui est la seule à le comprendre ; c’est un personnage fort pour lui. On voit Hypo grandir et évoluer. Les accessoires sont très importants afin de le suivre jusqu’à l’adolescence, la majorité et l’âge adulte. Le décor évolue en même temps que le jeu ; c’est une pièce très complète et je dirais que « Hypo » est un terrain de jeu énorme pour un acteur. C’est génial à jouer et moi, je m’éclate tous les soirs.

Qui est Hypo ?

Comme son prénom l’indique, il est hypocondriaque mais il est également maniaque, précoce intellectuellement et énormément névrosé. Hypo est un Misanthrope moderne et il a d’ailleurs été décrit ainsi lors des premières. Il est coupé des gens et il est très franc. Hypo est en marge de la société, il est dans sa réalité à lui mais cela ne veut pas dire qu’elle est bonne. J’en suis venu à me demander si cette hypocondrie n’était pas une sorte de carapace afin de pouvoir se cacher car il a peur surtout des gens.

Quelles seraient les qualités principales de ton personnage ?

Son intelligence, sa franchise, sa gentillesse, sa curiosité et il fait qu’il soit passionné.

As-tu des points communs avec lui ?

Oui, la passion ; justement ; et les névroses. Je me suis calmé avec le temps mais adolescent, j’avais beaucoup de névroses dont l’hypocondrie. Je pense qu'aujourd'hui nous le sommes tous mais à des degrés différents. J’ai été très peu malade et je n’avais pas peur des maladies bénignes; en revanche, j’avais très peur du Sida au début du collège à cause des moustiques. Je me suis reconnu dans ce personnage car il se met volontairement en marge et j’étais peut-être un peu comme ça au collège. J’étais différent et tout le monde ne le comprenait pas. J’ai eu du mal à m’intégrer, (ce qui a changé à mon entrée au lycée)  j’ai subi un peu de harcèlement scolaire mais je n’ai absolument pas ressenti ce côté en marge dans ma famille car j’ai toujours eu une famille très ouverte et très à l’écoute.

Qu’est-ce qui t’a séduit dans cette œuvre ?

J’ai découvert « Hypo » à la base avec le roman de Christian Astolfi et ensuite, nous l’avons adapté avec mon metteur en scène. J’ai été séduit par l’écriture, c’était très bien écrit mais aussi par le fait que c’était une histoire qui était jolie et douce. C’était tout à fait ce que je voulais partager car nous étions en plein dans la période des attentats du 13 novembre. Nous avons monté ce spectacle durant cette période qui était très dure et j’avais envie de proposer quelque chose de léger. Je me souviens que lors des premières, on me disait que cela faisait du bien de voir une belle histoire ; je pense que cette période était chargée émotionnellement pour tout le monde.

As-tu été libre d’interpréter le personnage d’Hypo comme tu l’imaginais ?

Xavier a adapté « Hypo » avec Laura Léoni et ils m’ont toujours consulté. Nous avons fait beaucoup de lectures à Paris entre novembre et mars/avril pour vraiment travailler le texte et pour qu’il colle à ma peau. Nous avons tous mis un peu de nous dans « Hypo » et quand nous avons commencé à travailler au plateau, j’avais déjà une familiarité avec le texte et avec le personnage. C’est né assez facilement, j’ai été très libre et c’est génial car j’ai vraiment pu apporter à Hypo ce que je voulais. Xavier m’a laissé beaucoup de liberté et c’est très bien car l’apport d’un acteur dans un personnage est très important.

Quel a été le retour de Christian Astolfi l’auteur original du roman ayant inspiré cette adaptation théâtrale ?

Le roman « Hypo » n’a pas été édité et Christian Astolfi publie des romans très noirs chez Flammarion. Christian Astolfi est venu voir le spectacle plusieurs fois et il a beaucoup aimé. Il a trouvé que notre adaptation était fidèle et que même si nous avons rajouté plein de choses, nous n’avons jamais dénaturé l’œuvre originale. Christian avait écrit un très beau mot sur le spectacle et nous en avions été très touchés tous les trois.

 

Que mettrais-tu en avant dans la mise en scène de Xavier-Adrien Laurent ?

L’inventivité ! Sa mise en scène est surprenante et créative. Il y a un côté « boîte de Pandore », il a quelque chose de très ludique et les images et le décor évoluent en même temps que le personnage. Tout est chorégraphié avec Hypo et tout joue, ce n’est pas un acteur seul sur scène.

Quel(s) conseil(s) donnerais-tu à un hypocondriaque désireux d’aller de l’avant en faisant fi de ses craintes ?

C’est une très bonne question. Ne pas trop écouter son cerveau ! Des psychoses et des névroses, j’en ai eu et j’en ai encore et je dirais donc qu’il ne faut pas trop s’écouter. Le cerveau peut créer des névroses dont on n’arrive pas à se relever. Avec le recul, on en rigole.

As-tu déjà d’autres projets théâtraux pour les prochains mois ?

Je suis en train d’écrire une pièce qui ne sera donc pas un solo et j’ai envie aussi de mettre en scène. Nous aimerions faire Avignon en 2019 avec « Hypo » et continuer à jouer le spectacle à Paris et en province. Il y a un très bon accueil envers ce spectacle et il y a de plus en plus de gens chaque soir ; nous aimerions donc faire vivre « Hypo » le plus longtemps possible. Je suis très content de cette reprise.

Comment inviterais-tu nos lecteurs à venir te découvrir dans « Hypo » au Théâtre de la Contrescarpe jusqu’au 30 septembre ?

Jouer « Hypo » à 21 ans, c’est une chance. Je suis content que les spectateurs passent un agréable moment avec Hypo, car c’est aussi pour cela que l’on monte un spectacle. Mais je passe moi-même un très bon moment de partage chaque semaine, avec un nouveau public, de plus en plus nombreux.

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Un joli spectacle qui saura vous surprendre !

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Le public est happé !

Un seul-en-scène sur l'hypocondrie  Sur les planches, Lucas Andrieu interprète le jeune personnage d'Hypo. Dans ce seul-en-scène éponyme, Hypo explique au public sa vie d'hypocondriaque.  Ce spectacle énergique ne retrace pas seulement l'enfance d'un hypocondriaque, il propose aussi... Lire plus

Un seul-en-scène sur l'hypocondrie 

Sur les planches, Lucas Andrieu interprète le jeune personnage d'Hypo. Dans ce seul-en-scène éponyme, Hypo explique au public sa vie d'hypocondriaque.  Ce spectacle énergique ne retrace pas seulement l'enfance d'un hypocondriaque, il propose aussi une réflexion sur notre société. 

Hypo c'est l'histoire d'un hypocondriaque. Depuis qu'il est enfant, il souffre de ce syndrome qui se caractérise par une anxiété excessive au sujet de la santé et du bon fonctionnement du corps. Le public suit l'évolution de ce personnage interprété par Lucas Andrieu, de sa tendre enfance à ses premiers pas dans la vie de jeune adulte. 

Sur scène : deux coffres à jouets. Ils sont remplis d'accessoires en tout genre que le comédien utilise pour illustrer les anecdotes qu'il narre. De souvenirs en souvenirs, le personnage d'Hypo se confie sur ses peurs, ses doutes et ses fantasmes. L'auditoire entre ainsi dans un univers à la fois drôle et sensible. 

 Une prestation énergique qui propose une réflexion sur notre société moderne

Hypo est un seul-en-scène qui s'inspire librement d'un roman de Christian Astolfi. Avec ce spectacle, les spectateurs suivent les aventures d'Hypo et le voient grandir. L'histoire touchante qui y est présentée est ponctuée de traits d'humour. 

Avec Hypo, le public est happé dans un récit narré énergiquement par Lucas Andrieu. Cette prestation ne présente pas seulement un jeune homme hypocondriaque qui a du mal à trouver une place dans notre monde, elle propose également une réflexion sur le modèle de société qui nous est proposé, voire imposé. 

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Un texte fin et une folie drolatique communicative !

La canicule frappe Paris alors que le public attend sagement devant le Théâtre de la Contrescarpe. Les 37 degrés se font sentir, les salles se vident et pourtant, ces gens vont au spectacle. C’est qu’ils ont rendez-vous avec le jeune Hypo qui va leur raconter son enfance d’hypocondriaque convaincu. Des... Lire plus

La canicule frappe Paris alors que le public attend sagement devant le Théâtre de la Contrescarpe. Les 37 degrés se font sentir, les salles se vident et pourtant, ces gens vont au spectacle. C’est qu’ils ont rendez-vous avec le jeune Hypo qui va leur raconter son enfance d’hypocondriaque convaincu. Des contrats qu’il fait signer à ses parents pour éviter les dangereuses sorties dominicales aux lectures passionnées du dictionnaire médical chez sa Tatie : il va se livrer durant une heure vingt délectable.

Cette pièce à un seul personnage a le mérite d’avoir un texte fin et une folie drolatique communicative. Elle nous présente un être d’emblée attachant par ses faiblesses et ses angoisses qui font échos aux nôtres. Nul besoin d’être hypocondriaque pour se sentir concerné, c’est avant tout notre rapport au monde extérieur qui est abordé avec malice. Au fur et à mesure, les couches se relèvent pour dévoiler un parcours initiatique touchant. On assiste à la naissance d’un adulte qui laisse ses peurs d’enfants pour aborder la vie.

L’interprétation de Lucas Andrieu apporte une plus-value au texte. Du haut de ses 21 ans, il joue de son physique juvénile et de son visage enfantin pour incarner Hypo dans toute sa vérité. On ne pense jamais au comédien mais toujours au personnage. C’est le principe du théâtre me direz-vous, mais il n’est pas rare que les jeunes acteurs éprouvent le besoin de rendre visible l’étendue de leur jeu. C’est avec le temps qu’on apprend à incarner. Lucas Andrieu n’a pas ce problème et se met au service de son personnage. Il déploie une énergie impressionnante et retient l’attention tout au long de la pièce. On ne décroche jamais. Il est drôle, espiègle, tourmenté : il nous rappelle l’enfant qu’on a été.

Afin de nous plonger pleinement dans le monde de l’enfance, Xavier-Adrien Laurent a eu la très bonne idée d’axer sa mise en scène autour de jouets que Lucas Andrieu sort d’un grand coffre. Nous avons l’impression d’être dans la chambre d’Hypo où il décide de nous raconter son histoire, figurines et fioles de médicaments à l’appui. La psyché du personnage devient physique et sert de support à l’imagination.

Hypo est une belle surprise tant cette pièce ne donne pas toutes ses clefs dès le départ. Elle déploie avec ingéniosité sa drôlerie poétique et le talent indéniable de son comédien. Elle sert d’écrin idéal à Lucas Andrieu qui nous démontre qu’il va faire partie des gens à surveiller dans ce métier. Il a beaucoup à offrir et son art est déjà bien développé à son jeune âge. On ose imaginer ce que cela sera dans quelques années.

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On ne peut dire que du très positif !

«  Hypo  » fait partie de ces œuvres sur lesquelles on ne peut dire que du très positif et où rien n’est laissé de côté pour embarquer le spectateur dans un univers. Adaptée par  Xavier-Adrien Laurent  et  Laura Léoni  d’après... Lire plus

« Hypo » fait partie de ces œuvres sur lesquelles on ne peut dire que du très positif et où rien n’est laissé de côté pour embarquer le spectateur dans un univers.

Adaptée par Xavier-Adrien Laurent et Laura Léoni d’après le roman de Christian Astolfi, « Hypo » est une œuvre aussi intéressante que divertissante.

Dans ce seul en scène hyper riche, c’est le jeune Lucas Andrieu qui incarne cet Hypo attachant mais aussi une collection de personnages qui gravitent autour de cet être pas comme les autres.

Durant 1h20, le spectateur suit la vie de ce jeune homme hypocondriaque de naissance ; de la maternité à l’obtention de son Bac en passant par l’école, ses séances chez sa psy, ses relations avec ses parents, l’arrivée de la chose, la puberté, la découverte de la sexualité…

Lucas Andrieu qui est totalement habité par le personnage incarne parfaitement Hypo ; tellement bien même que l’on croirait cette œuvre écrite par lui et autobiographique.

Lucas livre une incroyable performance pleine d’énergie et donne ses lettres de noblesse au spectacle vivant ; comme dit le proverbe, le talent n’attend pas le nombre des années et à seulement 21 ans, le comédien fait déjà preuve d’une sacrée maturité.

« Hypo » qui se joue tous les mardis et les dimanches à 20h jusqu’au 30 septembre au Théâtre de la Contrescarpe est un très joli coup de cœur qui saura vous captiver vous aussi !

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Le digne héritier d’Argan !

Avis aux malades imaginaires ou à ceux qui aiment s’écouter : Hypo est pour eux ! Un seul en scène drôle et émouvant sur un jeune hypocondriaque incarné avec conviction par Lucas Andrieu. Il n’a que 21 ans, mais Lucas Andrieu arpente les scènes de théâtre comme un... Lire plus

Avis aux malades imaginaires ou à ceux qui aiment s’écouter : Hypo est pour eux ! Un seul en scène drôle et émouvant sur un jeune hypocondriaque incarné avec conviction par Lucas Andrieu.

Il n’a que 21 ans, mais Lucas Andrieu arpente les scènes de théâtre comme un comédien aguerri. Fort du succès de son spectacle Hypo tiré du roman éponyme de Christian Astolfi, dans le Sud de la France, le voici à Paris, au Théâtre de la Contrescarpe dans le 5e, pour tenter de séduire la capitale avec ce seul en scène atypique. Atypique déjà par son sujet : Hypo, un jeune hypocondriaque, donc, raconte ses turpitudes, de sa naissance à sa majorité. Il tente par tous les moyens de retrouver sa « Caverne » (le ventre protecteur de sa mère) et cette quête impossible le conduit à s’écouter de trop et percevoir des maladies en toutes circonstances, puisqu’il se considère dénué de toute armure et abandonné de tous. Et ses parents ne l’aident pas beaucoup : ils ne comprennent pas ses manies et tocs, le poussent à passer du temps avec celle qu’il surnomme Tatie Purée, une tante qui lui ressemble, armée d’un Vidal qu’ils compulsent ensemble. Pire, ils l’obligent à aller voir une psy qui ne fera que réveiller en lui ses premiers émois sexuels et quand un petit frère débarque, plus éveillé et moins timoré par la vie, c’est la cassure définitive. Et ce qui était jusqu’alors bon enfant se transforme, petit à petit, en drame familial. 

On rit beaucoup des mésaventures névrotiques d’Hypo, que ce soit quand il imagine une fête foraine bourrée de maladies en pagaille ou quand il décrit son quotidien à l’école ou dans sa chambre, matérialisée par deux coffres à jouets desquels il sort des métaphores de son existence sous forme d’objets, nounours et autres poupées. Mais peu à peu, un malaise s’installe. Car l’hypocondrie du jeune garçon se révèle dans son incapacité à communiquer avec les autres et surtout avec ses parents. Jusqu’à le rendre parfois détestable, comme un antihéros qui s’auto-saboterait. Et c’est peu à peu l’histoire de cette écoute brisée qui se raconte. Car parents et fils vont devoir se séparer pour mieux se reconstruire. Comme un couple, à l’amiable, avec visites de courtoisie. On sourit alors jaune de cette situation qui semble inextricable. 

Un malaise rendu palpable grâce à l’interprétation toute en douceur et subtilité de Lucas Andrieu, porté par une mise en scène là encore sobre mais efficace de Xavier-Adrien Laurent. Le pari semble donc déjà gagné et on espère que le spectacle trouvera le public qu’il mérite, tant son sujet est universel. Car ne cherche-t-on pas, finalement, à trouver l’amour coûte que coûte et quel qu’il soit : filial, parental, sentimental ou simplement de soi ? Le plus difficile en somme pour les hypocondriaques bien trop malins tels qu’Hypo…

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Seul en scène étonnant ! Beaucoup d’émotion et de conviction !

Lucas Andrieu n’a que 21 ans et il tient déjà l’affiche d’un seul en scène étonnant : Hypo au Théâtre de la Contrescarpe, où il interprète un jeune hypocondriaque avec beaucoup d’émotion et de conviction. Voici son Paris.

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Seul en scène aussi drôle, caustique qu'attendrissant !

"Hypo, le spectacle qui parle à tous les malades imaginaires" "Hypo est un seul en scène aussi drôle, caustique qu'attendrissant."

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Qui n'a pas un ami hypocondriaque à traîner au Théâtre de la Contrescarpe pour rire de et avec lui ?

La pièce "Hypo" est à l'affiche du théâtre de la Contrescarpe tous les dimanches jusqu'au 27 mai. Dans ce seul en scène, Lucas Andrieu interprète un hypocondriaque.     Chaque dimanche soir, sur la scène du Théâtre de la Contrescarpe, le comédien Lucas... Lire plus

La pièce "Hypo" est à l'affiche du théâtre de la Contrescarpe tous les dimanches jusqu'au 27 mai. Dans ce seul en scène, Lucas Andrieu interprète un hypocondriaque.
 
 

Chaque dimanche soir, sur la scène du Théâtre de la Contrescarpe, le comédien Lucas Andrieu se glisse dans la peau d'Hypo, un personnage hypocondriaque. Sa famille l'a d'ailleurs affublé de ce surnom à cause de son anxiété obsessionnelle liée à sa santé.

Hypo est dans sa chambre, devant ses deux coffres à jouets remplis de souvenirs. Il raconte alors aux spectateurs le chemin qui l'a mené jusqu'à sa vie d'adulte. Un chemin parsemé de peurs, de doutes, d'exaspérations et de fantasmes. Dictionnaire des médicaments Vidal en main, névrosé et paranoïaque sur les bords, Hypo fait preuve d'auto-dérision tout en se moquant aussi de ses congénères. Il évoque la nutrition, tous ses petits bobos, mais aussi la peur de respirer un air pas si pur...

A seulement 21 ans, Lucas Andrieu mène seul en scène cette comédie, dont le texte est librement adapté du roman de Christian Astolfi "Hypo" par la dramaturge Laura Léoni et Xavier-Adrien Laurent, qui en signe également la mise en scène. L'idée de ce spectacle vient du comédien lui-même après la découverte des textes d'Astolfi dont il rêve de jouer le personnage. Il convainc alors le comédien, auteur et metteur en scène Xavier-Adrien Laurent de le suivre dans cette aventure...

Qui n'a pas un ami hypocondriaque à traîner à la Contrescarpe pour rire de et avec lui ?

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Carré Or TV
Un comédien bourré de talent !

N ous assistons à une brillante adaptation très libre et inspirée du roman éponyme de Christian Astalfi, par Xavier-Adrien Laurent avec la collaboration de Laura Léoni. Les craintes, les incertitudes, les exaspérations, les fantasmes sont savamment dosés dans ce spectacle où se... Lire plus

Nous assistons à une brillante adaptation très libre et inspirée du roman éponyme de Christian Astalfi, par Xavier-Adrien Laurent avec la collaboration de Laura Léoni.

Les craintes, les incertitudes, les exaspérations, les fantasmes sont savamment dosés dans ce spectacle où se mêlent hypocondrie, névrose et paranoïa, joué avec la plus grande dérision.

« Le Vidal est le grand frère que je n’ai jamais eu. »

 Hypo, est joué d’une façon majestueuse par Lucas Andrieu, comédien de 21 ans. Il tient le rôle, seul en scène. Ces deux coffres à malices sont ses seuls accessoires. Son personnage est extraordinaire, fascinant par sa complexité. Hypo est entier. A la fois hypocondriaque certes, mais intelligent, sincère et particulièrement touchant.

Hypo est avant tout drôle à se moquer de lui et de nous-mêmes.

Lucas Andrieu incarne à la perfection son personnage. Il dispose d’un réel talent de comédien. Tour à tour, Lucas Andrieu nous emporte entre déprime, drôlerie lorsqu’il feuillette le Vidal mais jamais tragique, le public est capté par l’histoire de ce jeune homme et surtout par les performances de ce comédien qui tient son public.

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Névrose, paranoïa et hypocondrie, un cocktail explosif !

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Touchant et drôle à la fois !

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Ce n'est pas réellement une comédie, pas un drame non plus !

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Une pièce pleine d'humour et d'émotion !

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Le personnage d'Hypo, c'est un Alceste moderne !

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Lucas Andrieu met de la couleur dans les mots, de l'émotion dans sa valise !

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"Hypotise" le public !

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Comédien talentueux et généreux !

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