Tchékhov disait de ces deux pièces courtes qu’elles étaient des « plaisanteries ». C’est pourtant avec elles qu’il va connaître ses premiers triomphes. Il n’a pas trente ans en 1888 et traverse une des périodes les plus heureuses de sa vie. Ce Tchékhov-là, joyeux, farceur, féroce humoriste, fait preuve dans ces miniatures pour la scène d’une violence grotesque incomparable. Que ce soit dans La Demande en mariage ou dans L’Ours, le tumulte, le rythme endiablé, la cocasserie des situations, la folie de ces personnages ahuris et furieux nous emportent loin du Tchékhov « chantre des crépuscules ».
Tchékhov à la folie - La demande en mariage / L'ours
La presse parle de Tchékhov à la folie - La demande en mariage / L'ours

Jean-Louis Benoit réunit trois comédiens exceptionnels, Emeline Bayart, Jean-paul Farré, Manuel Le Lièvre, pour jouer «La Demande en mariage» et «L'ours». Deux pièces brèves dont la cruauté est attisée par la mise en scène. C'est «Tchekhov... Lire plus
Jean-Louis Benoit réunit trois comédiens exceptionnels, Emeline Bayart, Jean-paul Farré, Manuel Le Lièvre, pour jouer «La Demande en mariage» et «L'ours». Deux pièces brèves dont la cruauté est attisée par la mise en scène. C'est «Tchekhov à la folie». (…) Benoit souligne, surligne, et les interprètes font exploser les situations comiques, cruelles et finement écrites. Rien ne trahit Tchékhov. On attise le feu des situations et des répliques, des comportements. C’est fabuleux ! On rit, on pleure, on pleure de rire. Armelle Héliot
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Quel plaisir de voir si bien rythmées ces comédies en un acte de Tchékhov où éclate son talent comique ! A coup de rideau fleuri et de chants d’oiseaux, Jean-Louis Benoît reconstruit, sur la mini scène du Théâtre de poche, le climat campagnard qui sied à ces deux bluettes... Lire plus
Quel plaisir de voir si bien rythmées ces comédies en un acte de Tchékhov où éclate son talent comique ! A coup de rideau fleuri et de chants d’oiseaux, Jean-Louis Benoît reconstruit, sur la mini scène du Théâtre de poche, le climat campagnard qui sied à ces deux bluettes colorées d’ironie vacharde. Dans La Demande en mariage, un propriétaire terrien, engoncé dans son mal-être, rend visite à son voisin pour lui demander la main de sa fille. Et le dialogue amoureux attendu de virer à la querelle de mitoyenneté. Dans L’Ours, un débiteur ombrageux vient solliciter une jeune veuve éplorée : elle lui tombera dans les bras. Dans ces comédies rosses où argent, désir et peur de la solitude se mêlent, le trio d’acteurs se partageant les personnages est brillantissime. Jean-Paul Farré passe du père au séducteur malgré lui en assumant la même verve gouaillante. Manuel Le Lièvre est un fiancé transi au tempérament clownesque... Quant à Emeline Bayart, une vraie cheffe d’orchestre ! Elle mène tout ce monde à coups d’oeillades et d’accents modulés du plus grave au plus aigu. Un bonheur ! E.B.
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De Tchekhov à Feydeau, Molière ou Ionesco, il n’y a finalement qu’un pas. Il est franchi avec bonheur par trois comédiens survoltés et précis, dirigés de main de maître par Jean-Louis Benoit. Dans un unique décor (…), deux courtes pièces de l’auteur russe (La... Lire plus
De Tchekhov à Feydeau, Molière ou Ionesco, il n’y a finalement qu’un pas. Il est franchi avec bonheur par trois comédiens survoltés et précis, dirigés de main de maître par Jean-Louis Benoit. Dans un unique décor (…), deux courtes pièces de l’auteur russe (La Demande en mariage et l’Ours) font de l’absurde l’implacable dynamique qui permet aux protagonistes d’aller au bout de leurs pulsions. Première séquence : un homme vient demander une femme en mariage, mais la romance tourne au pugilat. Second temps : un homme réclame de l’argent à une femme avant de tomber fou amoureux d’elle. Ces retournements de situation sont travaillés au mot et à la virgule près par la traduction d’André Markowicz et Françoise Morvan. Le spectacle est une mécanique folle où les acteurs se mettent au service non d’une psychologie mais d’un rythme effréné. Travail d’orfèvre qui suscite l’hilarité générale. Joëlle Gayot
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Jean-Paul Farré, est à mourir de rire en Lomov. Emeline Bayart, ballottée entre fureur et faim de mariage, et Manuel Le Lièvre, l’épouseur souffreteux, sont clownesques à souhait. Bravo à Jean-Louis Benoit, ces petits chefs-d’oeuvre burlesques sont rarement aussi bien...

On s’est plié de rire devant l’énormité, l’incongruité, l’ampleur de ce trio de comédiens rabelaisiens, virtuoses qui exultent dans La demande en mariage et L’ours, deux farces féroces réunies en un spectacle mis en scène avec générosité... Lire plus
On s’est plié de rire devant l’énormité, l’incongruité, l’ampleur de ce trio de comédiens rabelaisiens, virtuoses qui exultent dans La demande en mariage et L’ours, deux farces féroces réunies en un spectacle mis en scène avec générosité par Jean-Louis Benoît. (…) Tornade Emeline Bayart emporte tout, Manuel Le Lièvre est une cocotte-minute quand à Jean-Paul Farré vieux singe à qui on ne la fait pas, on adore. Tchékhov comme ça, c’est jouissif.
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Il fallait aussi des comédiens de choc pour pareille entreprise. Bonne pioche. Le trio des deux pièces est assez magique. Qu’ils soient pères, servants ou amoureux transis, Manuel Le Lièvre et Jean-Paul Farré sont parfaits. Truculents, violents, et bêtes à en pleurer de rire. Quant à... Lire plus
Il fallait aussi des comédiens de choc pour pareille entreprise. Bonne pioche. Le trio des deux pièces est assez magique. Qu’ils soient pères, servants ou amoureux transis, Manuel Le Lièvre et Jean-Paul Farré sont parfaits. Truculents, violents, et bêtes à en pleurer de rire. Quant à la demoiselle des deux aventures, interprétée dans deux registres au départ différents, elle est servie avec mention par la féerique Émeline Bayart. Tous les trois en rajoutent, en font des tonnes, grimacent, gesticulent, hurlent dans une harmonie parfaite. Cette façon de surjouer, de s’inscrire et de rester dans l’excès, en ciselant dans cette démesure chaque personnage, renforce la charge, la déraison comique. « Il y a un fond tragique dans les personnages (...) mais on est surtout dans l’absurde », dit le metteur en scène. (...) Ses trouvailles sont remarquables. Gérald Rossi
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Précipitez-vous au Théâtre de Poche, pour voir cet immense comédien qu'est Jean-Paul Farré, entouré de deux cadets, Émeline Bayart et Manuel Le Lièvre, interpréter deux courtes pièces de Tchekhov, La Demande en mariage et L'Ours. Ces deux pièces (…) je les ai... Lire plus
Précipitez-vous au Théâtre de Poche, pour voir cet immense comédien qu'est Jean-Paul Farré, entouré de deux cadets, Émeline Bayart et Manuel Le Lièvre, interpréter deux courtes pièces de Tchekhov, La Demande en mariage et L'Ours. Ces deux pièces (…) je les ai souvent vues jouer ; mais aucune de ces représentations ne m'avait donné le plaisir que le spectacle, mis en scène par Jean-Louis Benoit, auquel je viens d'assister au Théâtre de Poche, m'a procuré. J'ai ri, j'ai été ému, j'ai adoré que cela soit joué comme doit être joué Tchekhov, c'est-à-dire tambour battant. Gabriel Matzneff
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Emeline Bayart en paysanne grimaçante et entêtée puis en veuve qui ne se laisse pas démonter. Manuel Le Lièvre en prétendant bourré de tics, au bord de la crise cardiaque. Jean-Paul Farré en dur à cuire pas si dur que ça. Bref, un spectacle à la démesure de ce...

Tout est dans l’énergie, le rythme, la cocasserie, l’efficacité scénique. Et c’est une réussite. Il faut dire que les trois comédiens sont formidables : Émeline Bayart particulièrement, incroyablement drôle dans la Demande en mariage et qui change de registre dans... Lire plus
Tout est dans l’énergie, le rythme, la cocasserie, l’efficacité scénique. Et c’est une réussite. Il faut dire que les trois comédiens sont formidables : Émeline Bayart particulièrement, incroyablement drôle dans la Demande en mariage et qui change de registre dans l’Ours avec bonheur. Mais aussi Jean-Paul Farré, qu’on ne présente plus et qui, comme d’habitude, respire le talent et la générosité. Et puis aussi le troisième comparse, tout aussi excellent : Manuel Le Lièvre. Une heure d’un plaisir de théâtre avant d’aller souper. Jean-Luc Jeener
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Les trois comédiens réunis par Jean-Louis Benoit, excellent metteur en scène, fin et précis, sont des as. De vrais génies du rire, mais également des interprètes profonds et sensibles. Ils sont exceptionnels. Cela décuple la force des deux pièces, traduites idéalement par... Lire plus
Les trois comédiens réunis par Jean-Louis Benoit, excellent metteur en scène, fin et précis, sont des
as. De vrais génies du rire, mais également des interprètes profonds et sensibles. Ils sont
exceptionnels. Cela décuple la force des deux pièces, traduites idéalement par Françoise Morvan et André Markowicz.
Benoit imprime un mouvement vif à la représentation. Les protagonistes sont pris dans un mouvement de folie
irrépressible. C’est cocasse, terrible, cruel, d’une drôlerie unique. Bref, une des meilleures soirées de ce printemps... Et
de l’été ! Armelle Héliot

Deux Tchekhov bidonnants au Poche Montparnasse par Jean-Louis Benoit Jean Louis Benoit Benoit s’est saisi avec gourmandise et humilité des deux pièces. Sur le plateau du Poche, il invente un huis clos agité, une indécente scène de ménage. La chorégraphie des entrées et... Lire plus
Deux Tchekhov bidonnants au Poche Montparnasse par Jean-Louis Benoit
Jean Louis Benoit Benoit s’est saisi avec gourmandise et humilité des deux pièces. Sur le plateau du Poche, il invente un huis clos agité, une indécente scène de ménage. La chorégraphie des entrées et sorties des personnages, la création lumières et le choix d’un lit clos comme élément principal de décor fabriquent un effet d’alcôve, une alcôve qui finira brisée. Les comédiens sont flamboyants de clownerie, ils pétillent. Jean Paul Farré, que l’on ne voit pas assez souvent, compose un délicieux bouffon. Manuel Le Lièvre est hilarant dans le geste et le texte. Et Emeline Bayart plie avec burlesque l’équation de son personnage. Elle est irrésistible et truculente en cette femme virile, colérique mais parfois alanguie. Courez rire du Tchekhov au Poche Montparnasse. David Rofé-Sarfati
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Avec ces personnages cousins russes de ceux de la commedia dell'arte qui soutiennent une satire féroce à la façon moliéresque, Jean-Louis Benoit joue résolument la carte de la farce, genre assumé par l'auteur, en usant de tous les registres du comique jusqu'aux codes du cartoon. Et il dirige un trio de... Lire plus
Avec ces personnages cousins russes de ceux de la commedia dell'arte qui soutiennent une satire féroce à la façon moliéresque, Jean-Louis Benoit joue résolument la carte de la farce, genre assumé par l'auteur, en usant de tous les registres du comique jusqu'aux codes du cartoon. Et il dirige un trio de choc aguerri à cet exercice pour ce rendez-vous avec le rire assuré. Jean-Paul Farré, en père aussi irritable que sa descendance et en rustre accompli, et Manuel Le Lièvre en vieux garçon puis serviteur ahuri, remplissent plus de raison, à la folie bien évidemment, leur mission caricaturale. Balle, et belle, au centre, dans le rôle des maîtresses-femmes, l'une brut de décoffrage, la seconde plus policée, Emeline Bayart par sa maîtrise de la dramaturgie du corps et son expressivité qui flirte, à bon escient, avec le clownesque, s'avère époustouflante. MM
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Deux petits bijoux joliment mis en scène par Jean-Louis Benoît et interprétés par un trio d’acteurs épatant dans un décor unique empreint d’humour signé Jean Haas (…) Il faut des tempéraments bien trempés pour interpréter ces rôles volcaniques.... Lire plus
Deux petits bijoux joliment mis en scène par Jean-Louis Benoît et interprétés par un trio d’acteurs épatant dans un décor unique empreint d’humour signé Jean Haas (…) Il faut des tempéraments bien trempés pour interpréter ces rôles volcaniques. Jean-Paul Farré, Manuel Le lièvre et Emeline Bayart s’y entendent en la matière. (…) Si les personnages sont risibles, ils ne sont jamais ridicules ; ils portent en eux l’universel de la condition humaine, une caractéristique de l’œuvre de Tchekhov parfaitement traduite dans ces petites farces absurdes follement cocasses, « un théâtre de blague où tout doit paraître vrai » conduites par Jean-Louis Benoît à un train d’enfer. Corinne Denailles
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Une phénoménale leçon de théâtre ! Un pur enchantement ! (…) Jean-Louis Benoît a réuni un époustouflant casting. Les trois comédiens, Emeline Bayart, Jean-Paul Farré et Manuel Le Lièvre vont déployer une énergie, une vis comica, un... Lire plus
Une phénoménale leçon de théâtre ! Un pur enchantement ! (…) Jean-Louis Benoît a réuni un époustouflant casting. Les trois comédiens, Emeline Bayart, Jean-Paul Farré et Manuel Le Lièvre vont déployer une énergie, une vis comica, un rythme, une puissance furieuse presque grotesque, une violence et à la fois une subtilité dans leur jeu qui forcent le respect. (…) Oui, ce merveilleux spectacle est d'ores et déjà un incontournable de cette fin de saison. Vous l'aurez compris, il faut vous ruer au Poche-Montparnasse ! Et moi de me répéter : c'est une magistrale leçon de théâtre qui vous y attend ! Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas...
Yves Poey
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Quel moment délicieux, Emeline Bayart, Jean-Paul Farré et Manuel Le Lièvre nous entrainent avec grand brio dans ces deux farces en un acte de Tchekhov drolatiques, cocasses, pétillantes. Ce sont des « Plaisanteries » dira Tchekhov. (…) Emeline Bayart, Jean-Paul Farré et Manuel Le... Lire plus
Quel moment délicieux, Emeline Bayart, Jean-Paul Farré et Manuel Le Lièvre nous entrainent avec grand brio dans ces deux farces en un acte de Tchekhov drolatiques, cocasses, pétillantes. Ce sont des « Plaisanteries » dira Tchekhov. (…) Emeline Bayart, Jean-Paul Farré et Manuel Le Lièvre tous trois de grands talents, nous réjouissent. C’est un vrai régal.

Jean-Louis Benoit réussit à insuffler la folie et la célérité nécessaires au texte, tout en préservant cette âme, justement, slave, que l’on sent poindre autant dans les explosions de colère que dans les solitudes des personnages. Le décor, mobile, menacera de... Lire plus
Jean-Louis Benoit réussit à insuffler la folie et la célérité nécessaires au texte, tout en préservant cette âme, justement, slave, que l’on sent poindre autant dans les explosions de colère que dans les solitudes des personnages. Le décor, mobile, menacera de s’écrouler avec les certitudes de Gregori Stépanovitch, alors que les spectateurs, eux, s’inclinent devant tant d’énergie et de joie. Tchekhov à la folie, décidément, porte bien son nom et on en redemande.
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Il fallait une distribution exceptionnelle et Jean-Louis Benoit, l’a trouvée avec Emeline Bayart, qui a un abattage incroyable, Manuel Le LIèvre qui nous fait éclater de rire avec ses mimiques et ses malaises, et bien entendu Jean-Paul Farré, clownesque, et ours mal léché frappé par Cupidon... Lire plus
Il fallait une distribution exceptionnelle et Jean-Louis Benoit, l’a trouvée avec Emeline Bayart, qui a un abattage incroyable, Manuel Le LIèvre qui nous fait éclater de rire avec ses mimiques et ses malaises, et bien entendu Jean-Paul Farré, clownesque, et ours mal léché frappé par Cupidon ! Une mise en scène dynamique, joyeuse, on rit du début à la fin des situations burlesques et des personnages grotesques. Un beau début de printemps au Poche Montparnasse ! Anne Delaleu
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La comédienne Emeline Bayart excelle en femme virile qui défend son territoire et ses opinions : "vous m'offrez ma propre terre !?". Elle incarne la folie avec beaucoup de cocasserie. Sa gestuelle et ses mimiques provoquent instantanément le rire du public. Elle est délirante. (…) La mise en scène de... Lire plus
La comédienne Emeline Bayart excelle en femme virile qui défend son territoire et ses opinions : "vous m'offrez ma propre terre !?". Elle incarne la folie avec beaucoup de cocasserie. Sa gestuelle et ses mimiques provoquent instantanément le rire du public. Elle est délirante. (…) La mise en scène de Jean-Louis Benoît, qui selon ses dires "est un théâtre de blague où tout doit paraître vrai. Il faut être crédible dans l'invraisemblable" mélange parfaitement le registre vaudeville et l'attachement que nous avons pour les personnages de Tchékhov. Entre les deux pièces, les décors de Jean Haas changent par parcimonie et avec intelligence. Le piège ruban à glu pour attraper les mouches trônant au milieu de la scène est à l'image du spectacle : on n'en décroche pas.
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Jean-Louis Benoit dirige ses comédiens avec un tempo dynamique à souhait pour faire fonctionner ces petits bijoux de comédie, aux rouages bien huilés et à l'humour savoureux, la traduction du spécialiste André Mackowicz y est pour beaucoup . Il faut dire que Benoit a su faire appel à des... Lire plus
Jean-Louis Benoit dirige ses comédiens avec un tempo dynamique à souhait pour faire fonctionner ces petits bijoux de comédie, aux rouages bien huilés et à l'humour savoureux, la traduction du spécialiste André Mackowicz y est pour beaucoup. Il faut dire que Benoit a su faire appel à des pointures qui ont la maîtrise de leur rôle : Emeline Bayart, Jean-Paul Farré et Manuel Le Lièvre. Les trois se livrent avec plaisir (et pour le nôtre) à leurs chamailleries futiles et désopilantes. (…) Jean-Louis Benoit nous entraîne et nous ravit avec ces deux pièces que l'on croit toujours connaître et que l'on redécouvre à chaque fois. Bonheur garanti.
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