Stanislas de la TOUSCHE
Stanislas de la Tousche a été forme au Centre Américain par Stephane Lory (Paris, 1978- 1981) puis par Blanche Salant (1981-1982). À la Maison des jeunes et de la Culture Mercœur, il a suivi l’enseignement de Jacques Lecoq par Eduardo Galhos... Lire plus
Stanislas de la Tousche a été forme au Centre Américain par Stephane Lory (Paris, 1978- 1981) puis par Blanche Salant (1981-1982). À la Maison des jeunes et de la Culture Mercœur, il a suivi l’enseignement de Jacques Lecoq par Eduardo Galhos (Paris, 1982-1986). Stanislas de la Tousche débute au théâtre avec la pièce Le Livre de Viorel Stefan, mise en scène de Loïc Saint-James (Enghien, 1985). Il joue ensuite sous la direction de Christophe Thiry, notamment dans Mistero buffo de Dario Fo (Roseau Théâtre, Paris, 1987) et La Mort et l’écuyer du Roi de Wole Soyinka (Le Perreux-sur-Marne, 1994).
Il joue également dans de nombreuses pièces telles que Anthropologies de Pablo Abad, mise en scène de Ricardo Lopez-Munoz (Théâtre de Chatillon, 1996), Dialogues d’exilés de Bertold Brecht, mise en scène de Patrick Vershueren (Théâtre Éphéméride, Val- de-Reuil, 1998), Peines d’amour perdues de William Shakespeare, mise en scène de Simon Abkarian (Théâtre de l’Épée de Bois, Vincennes, 1999), Entretien entre Diderot et d’Alembert de Denis Diderot, mise en scène de Didier Mahieu (Théâtre Éphéméride, Val- de-Reuil, 1999), Britannicus de Jean Racine, mise en scène d’Alain Bezu (Théâtre des 2 Rives, Charenton, 1999), La Compagnie des spectres de Lydie Salvayre, mise en scène de Monica Espina (Théâtre National de Chaillot, 2002), Anticlimax de Werner Schwab, mise en scène de Regis Hebette (Theatre de l’Échangeur, 2004), Tragedy : a tragedy de William Eno, mise en scène de Monica Espina (La Générale, Paris, 2006), La Conjuration des imbéciles de John Kennedy Toole, mise en scène de Bastien Crinon (Théâtre Gérard Philippe, Orléans, 2008). Depuis 2010, Géraud Bénech le met en scène dans plusieurs spectacles inspirés de la vie et de l’œuvre de Louis-Ferdinand Céline, dont le dernier en date, Céline, Derniers entretiens est resté pendant près de trois saisons à l’affiche de théâtres parisiens (Théâtre des Déchargeurs 2017-2018, Théâtre de la Contrescarpe – 2018, Théâtre de Poche-Montparnasse, 2019) et a suscité l’enthousiasme de toute la critique. La Chute de Camus et Mais du soleil que reste-t-il ? d’après Maurice Genevoix (Théâtre de la Contrescarpe, 2020) consacrent ainsi une décennie de collaboration.
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